29.02.2004, 22:24
Même poème, avec une traduction plus poétique, en tentant de coller au maximum au texte anglais sans pour autant sacrifier à la beauté :
Gil-galad des Premiers-Nés fut un roi.
Et chantent les bardes d'une triste voix :
Dernier au royaume libre et beau
Des Montagnes jusques à la Grande Eau.
Une lance aiguë, une longue épée,
Un brillant heaume, de loin il se voyait;
Innombrables étoiles du firmament
Reflétées dans son grand écu d'argent.
Mais jadis, chevauchant il s'en alla
Et où il repose, on ne le sait pas,
Car dans l'Ombre s'éteignit son étoile
Au Mordor, où les ombres s'étalent.
Gil-galad des Premiers-Nés fut un roi.
Et chantent les bardes d'une triste voix :
Dernier au royaume libre et beau
Des Montagnes jusques à la Grande Eau.
Une lance aiguë, une longue épée,
Un brillant heaume, de loin il se voyait;
Innombrables étoiles du firmament
Reflétées dans son grand écu d'argent.
Mais jadis, chevauchant il s'en alla
Et où il repose, on ne le sait pas,
Car dans l'Ombre s'éteignit son étoile
Au Mordor, où les ombres s'étalent.
The gods forgot they made me, so I forget them too
I listen to the shadows, I play among their graves
I listen to the shadows, I play among their graves