08.08.2007, 15:33
Dans les Lettres, page 408-409 :
[...]on doit supposer qu'il entend par là que la coutume consistant à faire des cadeaux était sous une forme ou une autre commune à toutes les variétés, y compris les Forts. Mais dans la mesure où votre (3) [3 : les coutumes des Forts différaient de celle des autres Hobbits] est bien entendu exacte, on peut s'attendre à ce que même une coutume aussi fermement établie se manifeste sous des formes plutôt diverses dans les différentes branches. Avec le rtour d'émigration des Forts au Pays Sauvage en 1356 TA, tout contact fut rompu entre ce groupe rétrograde et les ancêtres des gens de la Comté. Plus de 1100 ans s'écoulèrent avant l'incident entre Sméagol et Déagol.[...]
Tous les Hobbits étaient lents au changement, mais les Forts de retour d'émigrarion retournaient à une vie plus sauvage et primitive, dans de petites communautés en déclin* ; tandis que les gens de la Comté, au cours des 1400 années d'occupation, avaient développé une vie sociale plus établie et élaborée, dasn laquelle l'importance de la parenté dans leurs sentiments et leurs coutumes était affirmée par des traditions détaillées, écrites et orales.
Bien que j'ai omis tout propos sur ce trait curieux mais caractéristique de leur comportement, les faits se rapportant à la Comté pourraient être exposés avec quelques détails. Ce qui concerne les Forts des bords du fleuve doit, naturellement, demeurer plus conjectural.
* Entre 2463 et le début des recherches précises de Gandalf au sujet de l'Anneau (près de 500 ans plus tard), ils semblent en fait s'être totalement éteints (à l'exception, bien sûr, de Sméagol) ; ou avoir fui loin de l'ombre de Dol Guldur.
Lettres, page 416-417 :
Il n'y a aucune raison de supposer que les Forts du Pays Sauvage avaient développé un système strictement "matriarcal", à proprement parler. Nulle trace d'une chose comparable ne fut trouvée parmi les Forts du Quartier de l'Est et du Pays-de-Bouc, même s'ils avaient conservé plusieurs différences dans leurs coutumes et leurs lois.
[...]on doit supposer qu'il entend par là que la coutume consistant à faire des cadeaux était sous une forme ou une autre commune à toutes les variétés, y compris les Forts. Mais dans la mesure où votre (3) [3 : les coutumes des Forts différaient de celle des autres Hobbits] est bien entendu exacte, on peut s'attendre à ce que même une coutume aussi fermement établie se manifeste sous des formes plutôt diverses dans les différentes branches. Avec le rtour d'émigration des Forts au Pays Sauvage en 1356 TA, tout contact fut rompu entre ce groupe rétrograde et les ancêtres des gens de la Comté. Plus de 1100 ans s'écoulèrent avant l'incident entre Sméagol et Déagol.[...]
Tous les Hobbits étaient lents au changement, mais les Forts de retour d'émigrarion retournaient à une vie plus sauvage et primitive, dans de petites communautés en déclin* ; tandis que les gens de la Comté, au cours des 1400 années d'occupation, avaient développé une vie sociale plus établie et élaborée, dasn laquelle l'importance de la parenté dans leurs sentiments et leurs coutumes était affirmée par des traditions détaillées, écrites et orales.
Bien que j'ai omis tout propos sur ce trait curieux mais caractéristique de leur comportement, les faits se rapportant à la Comté pourraient être exposés avec quelques détails. Ce qui concerne les Forts des bords du fleuve doit, naturellement, demeurer plus conjectural.
* Entre 2463 et le début des recherches précises de Gandalf au sujet de l'Anneau (près de 500 ans plus tard), ils semblent en fait s'être totalement éteints (à l'exception, bien sûr, de Sméagol) ; ou avoir fui loin de l'ombre de Dol Guldur.
Lettres, page 416-417 :
Il n'y a aucune raison de supposer que les Forts du Pays Sauvage avaient développé un système strictement "matriarcal", à proprement parler. Nulle trace d'une chose comparable ne fut trouvée parmi les Forts du Quartier de l'Est et du Pays-de-Bouc, même s'ils avaient conservé plusieurs différences dans leurs coutumes et leurs lois.