31.07.2007, 15:21
(Modification du message : 31.07.2007, 15:36 par Ereinion Gil-galad.)
Dans le prologue du SdA :
Les Forts etaient plus larges, de conformation plus lourde; leurs mains et leurs pieds etaient plus grands; ils preferaient les terrains plats et le bord des rivieres. Les Pales etaient plus clairs de peau et aussi de cheveux, et ils etaient plus grands et plus elances que les autres; ils aimaient les arbres et les terrains boises. (p.12)
Les Forts s'attarderent longtemps sur les bords du Grand Fleuve Anduin, et ils craignaient moins les Hommes. Ils vinrent dans l'Ouest apres les Pieds velus et suivirent le cours de la Sonoreau en direction du sud; et la, ils furent nombreux a demeurer entre Tharbad et la frontiere du Pays de Dun avant de repartir vers le nord. (p.12)
En Eriador, ils [les Pâles] ne tarderent pas a se meler aux autres especes qui les avaient precedes; mais, plus hardis et plus aventureux, on les trouvait souvent comme meneurs ou chefs de clan parmi les Pieds velus ou les Forts. Meme du temps de Bilbon, on pouvait encore constater la puissante veine pale dans les grandes familles telles que les Touque et les Maitres du Pays-de-Bouc. (p.13)
T1, Chapitre II. L'OMBRE DU PASSE :
" Longtemps apres, mais c'etait encore dans un temps tres lointain, vivait pres des rives du Grand Fleuve, a la lisiere du Pays Sauvage, un petit peuple a la main habile et au pied silencieux. Je pense qu'ils etaient du genre hobbit, apparentes aux peres des peres des Forts, car ils aimaient le Fleuve; ils y nageaient souvent et confectionnaient des petites embarcations de roseaux. Il y avait parmi eux une famille de grande reputation, car elle etait nombreuse et plus fortunee que la plupart; elle etait gouvernee par une grand-mere severe et versee dans ce qui restait de la tradition ancienne. Le membre le plus inquisiteur et le plus curieux de sa famille s'appelait Smeagol. Il s'interessait aux racines et aux origines; il plongeait dans les etangs profonds; il fouissait sous les arbres et les plantes en croissance; il creusait dans les monticules verts; et il cessa de lever le regard sur le haut des collines, les feuilles sur les arbres ou les fleurs. (p.79)
Cela ne répond peut être pas à tes interrogations.
Les Forts etaient plus larges, de conformation plus lourde; leurs mains et leurs pieds etaient plus grands; ils preferaient les terrains plats et le bord des rivieres. Les Pales etaient plus clairs de peau et aussi de cheveux, et ils etaient plus grands et plus elances que les autres; ils aimaient les arbres et les terrains boises. (p.12)
Les Forts s'attarderent longtemps sur les bords du Grand Fleuve Anduin, et ils craignaient moins les Hommes. Ils vinrent dans l'Ouest apres les Pieds velus et suivirent le cours de la Sonoreau en direction du sud; et la, ils furent nombreux a demeurer entre Tharbad et la frontiere du Pays de Dun avant de repartir vers le nord. (p.12)
En Eriador, ils [les Pâles] ne tarderent pas a se meler aux autres especes qui les avaient precedes; mais, plus hardis et plus aventureux, on les trouvait souvent comme meneurs ou chefs de clan parmi les Pieds velus ou les Forts. Meme du temps de Bilbon, on pouvait encore constater la puissante veine pale dans les grandes familles telles que les Touque et les Maitres du Pays-de-Bouc. (p.13)
T1, Chapitre II. L'OMBRE DU PASSE :
" Longtemps apres, mais c'etait encore dans un temps tres lointain, vivait pres des rives du Grand Fleuve, a la lisiere du Pays Sauvage, un petit peuple a la main habile et au pied silencieux. Je pense qu'ils etaient du genre hobbit, apparentes aux peres des peres des Forts, car ils aimaient le Fleuve; ils y nageaient souvent et confectionnaient des petites embarcations de roseaux. Il y avait parmi eux une famille de grande reputation, car elle etait nombreuse et plus fortunee que la plupart; elle etait gouvernee par une grand-mere severe et versee dans ce qui restait de la tradition ancienne. Le membre le plus inquisiteur et le plus curieux de sa famille s'appelait Smeagol. Il s'interessait aux racines et aux origines; il plongeait dans les etangs profonds; il fouissait sous les arbres et les plantes en croissance; il creusait dans les monticules verts; et il cessa de lever le regard sur le haut des collines, les feuilles sur les arbres ou les fleurs. (p.79)
Cela ne répond peut être pas à tes interrogations.