27.05.2007, 21:24
Comme d'habitude, je ne trouve jamais le temps de corriger dmes poèmes, seulement d'en faire d'autres et encore 
Bon, voici la version 1.1 ! Vous m'en direz des nouvelles maîtres Squall-Estel et Divitiac
-Les deux premières strophes n'ont pas subi de changement.
-J'ai corrigé la faute immonde de la troisième (on voit moins facilement les fautes quand on écrit des vers que quand on rédige un texte suivi ça m'apprendra à me relire !).
-Pour Clarté, j'ai enlevé la majuscule inutile. Je devais penser à une allégorie mais bon passons
-Rien de modifié dans la quatrième strophe excepté l'ajout du e à insufflées.
-Changement de "ô vermeille merveille" par une exclamation plus appropriée.
-Je maintiens mon "noir spectre". L'effet qu'a décrit Divitiac est justement celui recherché...
- Correction de "brûlés"
- Modification de l'avant-dernier vers sur le conseil de Divitiac (J'ai hésité entre muré, celé et caché et j'hésite toujours...à voir)
- Remplacement du terme "homme" par "être" et "humain", plus appropriés.
Bon maintenant voici le poème en question dûment modifié :
Du haut de la montagne, un cri retentissant
Dans les basses vallées trouve un étrange écho.
C’est celui de mon cœur, ce cœur gonflé de sang,
Ecarlate, agité, comme un coquelicot,
Comme une frêle fleur au pétale fragile,
Qui s’endort dans la nuit sans revoir la lumière,
Comme un écureuil las, autrefois si agile
Retournant à la terre, à la grise poussière.
Est-ce que cet écho, est-ce que ce cri vain
S’uniront une fois en un vibrant hommage ?
A la clarté du jour qui rejette et qui vainc
La détresse et le doute, et la peur et la rage…
_Qui consument mon âme, la réduisent en cendre !
Ces hargnes que la nuit a insufflées en moi ;
Cette horreur qui me ronge et désire pourfendre,
Torturer, massacrer, dominer par sa loi !
Un globe lumineux se lève dans le ciel
Mais ses rayons déjà ne me réchauffent plus.
_Ô terrible merveille ! Ô soleil éternel !
Te souviens-tu encor de l’être que je fus ?
Et non pas ce noir spectre et non pas ce corps flasque
Par ta force ébloui, par tes rayons brûlé !
Un humain sans pitié, muré derrière un masque,
Un humain sonnant creux comme un vase fêlé.
Elros Tar-Minyatur, dit le Lent

Bon, voici la version 1.1 ! Vous m'en direz des nouvelles maîtres Squall-Estel et Divitiac

-Les deux premières strophes n'ont pas subi de changement.
-J'ai corrigé la faute immonde de la troisième (on voit moins facilement les fautes quand on écrit des vers que quand on rédige un texte suivi ça m'apprendra à me relire !).
-Pour Clarté, j'ai enlevé la majuscule inutile. Je devais penser à une allégorie mais bon passons

-Rien de modifié dans la quatrième strophe excepté l'ajout du e à insufflées.
-Changement de "ô vermeille merveille" par une exclamation plus appropriée.
-Je maintiens mon "noir spectre". L'effet qu'a décrit Divitiac est justement celui recherché...

- Correction de "brûlés"
- Modification de l'avant-dernier vers sur le conseil de Divitiac (J'ai hésité entre muré, celé et caché et j'hésite toujours...à voir)
- Remplacement du terme "homme" par "être" et "humain", plus appropriés.
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Bon maintenant voici le poème en question dûment modifié :
Du haut de la montagne, un cri retentissant
Dans les basses vallées trouve un étrange écho.
C’est celui de mon cœur, ce cœur gonflé de sang,
Ecarlate, agité, comme un coquelicot,
Comme une frêle fleur au pétale fragile,
Qui s’endort dans la nuit sans revoir la lumière,
Comme un écureuil las, autrefois si agile
Retournant à la terre, à la grise poussière.
Est-ce que cet écho, est-ce que ce cri vain
S’uniront une fois en un vibrant hommage ?
A la clarté du jour qui rejette et qui vainc
La détresse et le doute, et la peur et la rage…
_Qui consument mon âme, la réduisent en cendre !
Ces hargnes que la nuit a insufflées en moi ;
Cette horreur qui me ronge et désire pourfendre,
Torturer, massacrer, dominer par sa loi !
Un globe lumineux se lève dans le ciel
Mais ses rayons déjà ne me réchauffent plus.
_Ô terrible merveille ! Ô soleil éternel !
Te souviens-tu encor de l’être que je fus ?
Et non pas ce noir spectre et non pas ce corps flasque
Par ta force ébloui, par tes rayons brûlé !
Un humain sans pitié, muré derrière un masque,
Un humain sonnant creux comme un vase fêlé.
Elros Tar-Minyatur, dit le Lent
