12.07.2024, 10:37
Puisqu'on parle dans le fuseau voisin de Beowulf, j'ai récemment pu constater que le grand angliciste médiéviste André Crépin (1928-2013) citait à multiples reprises Finn and Hengest et reprenait à son compte l'essentiel de l'analyse proposée par Tolkien et Bliss dans son ouvrage en deux volumes Beowulf. Édition diplomatique et texte critique, traduction française, commentaires et vocabulaire (Verlag Kümmerle, 1991) lorsqu'il propose sa propre lecture de l'épisode de Finn dans la première partie de Beowulf.
Malheureusement, l'ouvrage en question est désormais difficile à trouver, aussi aurais-je tendance à recommander à la place sa nouvelle édition et traduction, même si celle-ci ne comporte pas autant d'annotations et de commentaires : André Crépin, Beowulf. Édition revue, nouvelle traduction, introduction et notes, Le Livre de Poche (collection Lettres gothiques), 2007.
Malheureusement, l'ouvrage en question est désormais difficile à trouver, aussi aurais-je tendance à recommander à la place sa nouvelle édition et traduction, même si celle-ci ne comporte pas autant d'annotations et de commentaires : André Crépin, Beowulf. Édition revue, nouvelle traduction, introduction et notes, Le Livre de Poche (collection Lettres gothiques), 2007.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland