27.01.2020, 22:20
Intéressant.
Ma principale réserve vient d'un point considéré comme évident par l'auteur, alors qu'il me semble fondamentalement erroné : lorsque Tolkien parle du son « i » en quenya et en sindarin, il donne comme équivalent le « i » de l'angl. machine, ce que l'auteur semble comprendre comme [ i: ] (un « i » français long), alors qu'il doit simplement s'agir de [ i ] (le « i » français normal). Il est vrai que le « i » de machine est long, mais je pense que Tolkien a employé cet exemple uniquement pour décrire la qualité de la voyelle et non sa quantité, car les « i » anglais brefs sont de qualité légèrement différente.
Ma principale réserve vient d'un point considéré comme évident par l'auteur, alors qu'il me semble fondamentalement erroné : lorsque Tolkien parle du son « i » en quenya et en sindarin, il donne comme équivalent le « i » de l'angl. machine, ce que l'auteur semble comprendre comme [ i: ] (un « i » français long), alors qu'il doit simplement s'agir de [ i ] (le « i » français normal). Il est vrai que le « i » de machine est long, mais je pense que Tolkien a employé cet exemple uniquement pour décrire la qualité de la voyelle et non sa quantité, car les « i » anglais brefs sont de qualité légèrement différente.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland