08.03.2004, 19:15
Matthieu Vuillerme - Complainte pour la Tour de Garde
En cette heure de la nuit, où le monde n'est plus qu'ombres
D'immenses nuées obscures avancent leurs doigts sombres
Venues du Pays Noir, où vit dans la pénombre
Le Seigneur Noir et ses serviteurs sans nombre
Hélas ! Reverrons-nous la brillante Arien
Nimbant notre cité de ses rayons d'airain
Hélas ! Le pâle Tilion reverra-t-il encore
Minas Ithil la belle, douce cité du Gondor
Dans la Grande Tour de Garde, tout espoir s'est enfui
Devant cette haine des Hommes, devant cette furie
Qui dechaînent à nos portes de féroces ennemis
Qui ont pour unique but d'anéantir nos vies
Je vois les Champs au loin du haut de nos remparts
Bientôt notre cité ne tiendra plus sans choir
Et à cette vision se referme sur mon coeur
Toute gantée d'acier la poigne de la peur.
En cette heure de la nuit, où le monde n'est plus qu'ombres
D'immenses nuées obscures avancent leurs doigts sombres
Venues du Pays Noir, où vit dans la pénombre
Le Seigneur Noir et ses serviteurs sans nombre
Hélas ! Reverrons-nous la brillante Arien
Nimbant notre cité de ses rayons d'airain
Hélas ! Le pâle Tilion reverra-t-il encore
Minas Ithil la belle, douce cité du Gondor
Dans la Grande Tour de Garde, tout espoir s'est enfui
Devant cette haine des Hommes, devant cette furie
Qui dechaînent à nos portes de féroces ennemis
Qui ont pour unique but d'anéantir nos vies
Je vois les Champs au loin du haut de nos remparts
Bientôt notre cité ne tiendra plus sans choir
Et à cette vision se referme sur mon coeur
Toute gantée d'acier la poigne de la peur.