27.10.2015, 17:21
Par une nuit de jais, aux confins de l'Arnor,
Sa silhouette s'y dessine, abandonnée,
Par les reflets d'argent d'une lune blafarde,
Lui donnant un petit air austère et lugubre.
Le vent s'y engouffre en lamentations sonores,
Se faufille et siffle par les murs lezardés
Semblant à des cris poussés par ses défunts gardes,
Des ruines du sommet jusqu'au fond insalubre.
Qu'elles paraissent lointaines ses gloires d'antan,
Quand elle fourmillait de guerrier des plus vaillants
Prêt pour le combat face au Roi-sorcier d'Angmar.
Ce n'est plus qu'une ruine de pierre branlante
Perchée sur une haute colline verdoyante,
Suite à un dernier combat, un ultime traquenard.
Sa silhouette s'y dessine, abandonnée,
Par les reflets d'argent d'une lune blafarde,
Lui donnant un petit air austère et lugubre.
Le vent s'y engouffre en lamentations sonores,
Se faufille et siffle par les murs lezardés
Semblant à des cris poussés par ses défunts gardes,
Des ruines du sommet jusqu'au fond insalubre.
Qu'elles paraissent lointaines ses gloires d'antan,
Quand elle fourmillait de guerrier des plus vaillants
Prêt pour le combat face au Roi-sorcier d'Angmar.
Ce n'est plus qu'une ruine de pierre branlante
Perchée sur une haute colline verdoyante,
Suite à un dernier combat, un ultime traquenard.