Tuilë
Le soleil montant, sur un frais matin
Où, couvert de rosée, le Niphredil
Parvenu à se frayer un chemin
Parmi les mousses humides et fertiles.
Lairë
Parmi les branches du Mallorn pointe
Une multitude de noix d'argent
Ravissant l'écureuil et sa conjointe
Qui, en son tronc, y font hébergement.
Yávië
Les pétales s'envolent au gré du vent
Alors que les paysages rougeoient,
Les vies rentre en sommeil lentement
Ces teintes chaudes nous mettent en émoi.
Quellë
Tout est flétri dans les sillons des champs,
Les feuilles chutent en cascade à terre.
Les Nicbriqueux ont arrêté leur chant
Et font ripaille pour passer l'hiver.
Hrivë
Froidure et gel se montrent à leur tour
La neige tombe en cristaux argentés,
Les bourrasques s'engouffrent sans détour
Nappant la forêt d'un drap immaculé.
Coirë
Voilà le renouveau tant attendu
Où les jeunes pousses percent la neige
Et les mousses apparaissent en étendues ;
Les Coranars sont tel des manèges.
Le soleil montant, sur un frais matin
Où, couvert de rosée, le Niphredil
Parvenu à se frayer un chemin
Parmi les mousses humides et fertiles.
Lairë
Parmi les branches du Mallorn pointe
Une multitude de noix d'argent
Ravissant l'écureuil et sa conjointe
Qui, en son tronc, y font hébergement.
Yávië
Les pétales s'envolent au gré du vent
Alors que les paysages rougeoient,
Les vies rentre en sommeil lentement
Ces teintes chaudes nous mettent en émoi.
Quellë
Tout est flétri dans les sillons des champs,
Les feuilles chutent en cascade à terre.
Les Nicbriqueux ont arrêté leur chant
Et font ripaille pour passer l'hiver.
Hrivë
Froidure et gel se montrent à leur tour
La neige tombe en cristaux argentés,
Les bourrasques s'engouffrent sans détour
Nappant la forêt d'un drap immaculé.
Coirë
Voilà le renouveau tant attendu
Où les jeunes pousses percent la neige
Et les mousses apparaissent en étendues ;
Les Coranars sont tel des manèges.