28.09.2015, 17:20
Merci Zelph pour cette relecture attentive. Voici mes remarques par rapport aux corrections proposées:
Pour Touc en Toucque, la rime masculine devient féminine. Théoriquement, ce n'est pas permis mais on le fait déjà dans la strophe dédiée à Sam. Donc, là OK.
Pour Hobbiton en Hobbitebourg, le e intercalaire induit un pied supplémentaire et donc un vers à 13 pieds. A moins de l'aspirer (Hobitt'bourg). A voir.
Pour les majuscules et la virgule, sans problème, c'est juste une question de fautes de frappe. Donc la correction ne pose aucune difficulté.
Quand l'Ombre s'étendait à la fin du Tiers Âge,
La Terre du Milieu réclamait des Héros.
Neuf en Communauté, partageant leur courage,
Firent alors serment de détruire l'Anneau.
Envoyé d'Outremer soutenir le combat,
C'est face au démon-feu que sous terre il tomba.
Mais le gris pèlerin fut rappelé au monde :
Sa puissance et sagesse accrues, il prit le blanc.
Cavalier de Gripoil et champion de son camp,
Il en fit la victoire et repassa les ondes.
Fumant devant Cul-de-Sac après déjeuner
Ronds de fumée ôte la douleur du passé
Ombre de lui même, rêvant aux beaux rivages
D'instinct tournant son coeur, vers pays des Valar,
Où les nuits sont guéries de leurs cauchemars
N'endurant plus enfin sa quête du Tiers Âge.
Ami au coeur fidèle et cuisinier hors-pair,
Il apprit du jardin les secrets de son père.
Amoureux du Beau Peuple aux légendes chantées,
Durant toute la quête, il veilla sur son maître.
L’horrible Arachne occit, vit l’Anneau disparaître
Et fit de la Comté une terre enchantée.
Né en pays de Bouc, enfant de Saradoc,
Le monde le connaît, de Hobbitebourg à Stock.
C'est sans jamais rêver de conquête ou de gloire,
Qu'il partit un beau jour avec ses compagnons.
Après avoir défait le Noir seigneur Sauron,
Il devint en Comté le grand conteur d'histoires.
De petite taille mais au cœur gigantesque,
Ne dépareillant nullement dans cette fresque,
De douce Galenas est fervent connaisseur,
Su répondre présent dans les plus durs moments,
De la Comté, par la Moria, jusqu'au Rohan.
Il finira Thain de toute sa grandeur.
Le sans-couronne est roi, voyageur de l'exil.
Des cendres incandescentes, il refondit Narsil.
La Pierre Elfique nimbe les deux grands royaumes.
Dame Arwen l'a choisi pour forger avec lui
Glorieuse lignée au-delà de leurs vies
En Terre du Milieu ressuscitant les hommes.
Issu des arbres noirs, aussi grand et fort qu'eux,
Uruk-hai, craignez-le, ce Sinda audacieux.
Chemine sur le vent, rapide et loin voyant,
Épaulé par un nain qu'il estime et charrie.
Détalez scélérats et craignez pour vos vies,
Des remparts il surgit, endurant combattant.
Héritier de Durin, Enfant du Rougeoyant,
Jeune parmi les siens mais non moins endurant.
Ce seigneur d’Aglarond et pourfendeur d’Uruks,
Contempla extasié la grâce des Eldar.
Et vers l’Ouest naviguant à l’heure du départ,
Laissa là Elessar, Brandebouc et puis Touque.
L'appel de ton cor sous la voûte d'Eärendil
Fit tressaillir nos coeurs, au plus fort du péril.
Sur les pas d'Isildur en sa gloire héroïque,
Tu reposes à jamais vaillant fils d'Ecthelion.
Et toutes nos louanges, épopées et chansons
Vanteront Les hauts faits du hardi magnifique.
Pour Touc en Toucque, la rime masculine devient féminine. Théoriquement, ce n'est pas permis mais on le fait déjà dans la strophe dédiée à Sam. Donc, là OK.
Pour Hobbiton en Hobbitebourg, le e intercalaire induit un pied supplémentaire et donc un vers à 13 pieds. A moins de l'aspirer (Hobitt'bourg). A voir.
Pour les majuscules et la virgule, sans problème, c'est juste une question de fautes de frappe. Donc la correction ne pose aucune difficulté.
Quand l'Ombre s'étendait à la fin du Tiers Âge,
La Terre du Milieu réclamait des Héros.
Neuf en Communauté, partageant leur courage,
Firent alors serment de détruire l'Anneau.
Envoyé d'Outremer soutenir le combat,
C'est face au démon-feu que sous terre il tomba.
Mais le gris pèlerin fut rappelé au monde :
Sa puissance et sagesse accrues, il prit le blanc.
Cavalier de Gripoil et champion de son camp,
Il en fit la victoire et repassa les ondes.
Fumant devant Cul-de-Sac après déjeuner
Ronds de fumée ôte la douleur du passé
Ombre de lui même, rêvant aux beaux rivages
D'instinct tournant son coeur, vers pays des Valar,
Où les nuits sont guéries de leurs cauchemars
N'endurant plus enfin sa quête du Tiers Âge.
Ami au coeur fidèle et cuisinier hors-pair,
Il apprit du jardin les secrets de son père.
Amoureux du Beau Peuple aux légendes chantées,
Durant toute la quête, il veilla sur son maître.
L’horrible Arachne occit, vit l’Anneau disparaître
Et fit de la Comté une terre enchantée.
Né en pays de Bouc, enfant de Saradoc,
Le monde le connaît, de Hobbitebourg à Stock.
C'est sans jamais rêver de conquête ou de gloire,
Qu'il partit un beau jour avec ses compagnons.
Après avoir défait le Noir seigneur Sauron,
Il devint en Comté le grand conteur d'histoires.
De petite taille mais au cœur gigantesque,
Ne dépareillant nullement dans cette fresque,
De douce Galenas est fervent connaisseur,
Su répondre présent dans les plus durs moments,
De la Comté, par la Moria, jusqu'au Rohan.
Il finira Thain de toute sa grandeur.
Le sans-couronne est roi, voyageur de l'exil.
Des cendres incandescentes, il refondit Narsil.
La Pierre Elfique nimbe les deux grands royaumes.
Dame Arwen l'a choisi pour forger avec lui
Glorieuse lignée au-delà de leurs vies
En Terre du Milieu ressuscitant les hommes.
Issu des arbres noirs, aussi grand et fort qu'eux,
Uruk-hai, craignez-le, ce Sinda audacieux.
Chemine sur le vent, rapide et loin voyant,
Épaulé par un nain qu'il estime et charrie.
Détalez scélérats et craignez pour vos vies,
Des remparts il surgit, endurant combattant.
Héritier de Durin, Enfant du Rougeoyant,
Jeune parmi les siens mais non moins endurant.
Ce seigneur d’Aglarond et pourfendeur d’Uruks,
Contempla extasié la grâce des Eldar.
Et vers l’Ouest naviguant à l’heure du départ,
Laissa là Elessar, Brandebouc et puis Touque.
L'appel de ton cor sous la voûte d'Eärendil
Fit tressaillir nos coeurs, au plus fort du péril.
Sur les pas d'Isildur en sa gloire héroïque,
Tu reposes à jamais vaillant fils d'Ecthelion.
Et toutes nos louanges, épopées et chansons
Vanteront Les hauts faits du hardi magnifique.