04.01.2015, 00:13
(Modification du message : 04.01.2015, 00:18 par Bragelonne.)
Une adaptation à grand budget du jeu "Bataille pour la Terre du Milieu II", très fidèle.
On y retrouve les mêmes créatures rajoutées (vers notamment, qui disparaissent après un temps d'utilisation), les héros qu'on peut acheter dans la forteresse et qui ont des pouvoirs très efficaces contre les unités (il faut simplement attendre deux minutes entre deux utilisations, cf Galadriel), ces mêmes héros pouvant tenir facilement tête à plusieurs régiments d'unités classiques, un élément qui a d'ailleurs un peu ruiné les parties en multijoueur ("seulement une centaine de mercenaires, ça ira" dit Dwalin - le Nain est effectivement un dur à cuire dans les livres, mais le panache de Bergerac n'est pas là), ajouté au très grand manque de stratégie de l'IA. Un gros besoin de réintroduction d'aigles en Terre du Milieu, sans parler d'ours, probablement dû à un boycott des bergers du Lamedon en colère.
Plus sérieusement, un message caché à partir de la mort de Thorin : on voit Bilbon et Gandalf assis penauds-consternés. Puis on nous montre que le matériel du Hobbit a été vendu aux enchères aux plus offrants. Martin Freeman tente de sauver les meubles, mais ne parvient qu'à arracher quelques objets à un ersatz de Sacquet qui ne le reconnaît pas. Dans un smial vidé de tout ce qui fait son histoire, reste seulement Bilbo, pour quelques secondes d'apparition. Une jolie métaphore du film.
On y retrouve les mêmes créatures rajoutées (vers notamment, qui disparaissent après un temps d'utilisation), les héros qu'on peut acheter dans la forteresse et qui ont des pouvoirs très efficaces contre les unités (il faut simplement attendre deux minutes entre deux utilisations, cf Galadriel), ces mêmes héros pouvant tenir facilement tête à plusieurs régiments d'unités classiques, un élément qui a d'ailleurs un peu ruiné les parties en multijoueur ("seulement une centaine de mercenaires, ça ira" dit Dwalin - le Nain est effectivement un dur à cuire dans les livres, mais le panache de Bergerac n'est pas là), ajouté au très grand manque de stratégie de l'IA. Un gros besoin de réintroduction d'aigles en Terre du Milieu, sans parler d'ours, probablement dû à un boycott des bergers du Lamedon en colère.
Plus sérieusement, un message caché à partir de la mort de Thorin : on voit Bilbon et Gandalf assis penauds-consternés. Puis on nous montre que le matériel du Hobbit a été vendu aux enchères aux plus offrants. Martin Freeman tente de sauver les meubles, mais ne parvient qu'à arracher quelques objets à un ersatz de Sacquet qui ne le reconnaît pas. Dans un smial vidé de tout ce qui fait son histoire, reste seulement Bilbo, pour quelques secondes d'apparition. Une jolie métaphore du film.