04.10.2011, 23:21
Nous avons reçu le message par courriel, et il a fait son petit effet...
Disons que l'idée était dans l'air, et que... eh bien, nous passons Ben et moi à la réflexion pratique. Les dernières publications sont surtout grammaticales et lexicales, nous n'avons pas de nouveau grand texte (ok, il y a la phrase des elfes ambidextres et les voeux dans VT49) mais de nouveaux détails en revanche sur la prononciation du quenya.
Glǽmscrafu regroupe les principales attestations, mais nous ne l'avons pas conçu comme devant devenir un corpus intégral. Son approche est surtout intéressante quand il y a un minimum de texte suivi. Je doute de l'intérêt d'y mettre le moindre petit bout d'elfique publié çà ou là. A suivre mon goût, je mettrais plus volontiers des nouveaux bouts de Béowulf, moi
D'un autre côté, il y a des langues qui n'ont pas ou peu de texte et où l'on est forcé d'en passer par des listes de mots. C'est déjà le cas du valarin. Nous songeons fortement à y ajouter l'elfique primitif, car bien qu'on n'en ait aucun texte (ce qui est normal d'un point de vue interne, puisqu'il s'agit là lors d'une reconstruction et non d'une langue directement attesté) le vocabulaire est assez abondant, et c'est une dimension importante de la création linguistique de Tolkien.
Maintenant, je n'ai pas moins de trois projets tolkieniens en cours : un pressant, un à faire sans trop tarder, et un gelé. J'ai un peu l'impression de devenir comme le professeur et d'avoir le plus grand mal à finir ce que je commence, donc je ne veux rien promettre avant terme. Mais sachez quand même qu'on y pense sérieusement, à cette MaJ.
Et j'en garde sous le coude sinon je ne pourrai plus teaser
Bertrand
Disons que l'idée était dans l'air, et que... eh bien, nous passons Ben et moi à la réflexion pratique. Les dernières publications sont surtout grammaticales et lexicales, nous n'avons pas de nouveau grand texte (ok, il y a la phrase des elfes ambidextres et les voeux dans VT49) mais de nouveaux détails en revanche sur la prononciation du quenya.
Glǽmscrafu regroupe les principales attestations, mais nous ne l'avons pas conçu comme devant devenir un corpus intégral. Son approche est surtout intéressante quand il y a un minimum de texte suivi. Je doute de l'intérêt d'y mettre le moindre petit bout d'elfique publié çà ou là. A suivre mon goût, je mettrais plus volontiers des nouveaux bouts de Béowulf, moi
D'un autre côté, il y a des langues qui n'ont pas ou peu de texte et où l'on est forcé d'en passer par des listes de mots. C'est déjà le cas du valarin. Nous songeons fortement à y ajouter l'elfique primitif, car bien qu'on n'en ait aucun texte (ce qui est normal d'un point de vue interne, puisqu'il s'agit là lors d'une reconstruction et non d'une langue directement attesté) le vocabulaire est assez abondant, et c'est une dimension importante de la création linguistique de Tolkien.
Maintenant, je n'ai pas moins de trois projets tolkieniens en cours : un pressant, un à faire sans trop tarder, et un gelé. J'ai un peu l'impression de devenir comme le professeur et d'avoir le plus grand mal à finir ce que je commence, donc je ne veux rien promettre avant terme. Mais sachez quand même qu'on y pense sérieusement, à cette MaJ.
Et j'en garde sous le coude sinon je ne pourrai plus teaser
Bertrand