25.08.2003, 17:09
Les bannières flottaient sous le vent d'Ard-Galen
Les trompettes saluant l'aube naissante
Le doute plana un instant sur l'esprit de Fingon
Avant qu'un cri du sud se fasse entendre.
Turgon, Turgon, avait quitté sa blanche cité
Dix mille hommes avec lui prêts à combattre
Renfort inespéré pour la bataille
Utulie'n aurë, utulie'n aurë,
Aura i lomë.
Mais alors que les épées se préparaient
A trancher et tailler dans la chair des Orcs
Vint Gelmir fils de Guilin, et ses bourreaux avec lui
Yeux crevés, mains et pieds tranchés, avant d'agoniser
L'assaut fut lancé alors, impétueux Gwindor
Traversant Anfauglith jusqu'au Thangorodrim, si proche et pourtant
[si loin
Piégés dans la sombre citadelle vouée au démon
Dont nul ne réchappa sauf un
Morts aussi les Haladins avec leur prince Haldir
Les forêts de Brethil resteraient orphelines
Le heaume blanc de Fingon resplendissait
Son frère Turgon et son vassal Hurin luttant à ses côtés
Les Orcs refluaient, la victoire presque acquise
Balrogs et Dragons arrivaient sans cesse et sans succès
Même le Doré, aîné des Dragons, restait presque impuissant
Lorsque soudain l'heur changea de camp.
Les Hommes de l'Est dévoilèrent leur traîtrise
Changeant de camp, attaquant leurs amis
Corrompus et achetés par le maître d'Angband
Mourant par dizaines mais arrivant par centaines
Lors Glaurung se vit encerclé
Par les Naugrim de Belegost aux luisantes armures
Azaghâl s'effondrant, mais vainqueur quand même
Ver Doré blessé dans sa chair maudite.
Fingon seul au milieu des corps logtemps lutta
Contre le Seigneur des Balrogs, inégal combat
Il tomba sous sa sombre hache, Haut Roi des Noldor
Flamme blanche issue du heaume d'argent
Aux Marais de Serech Turgon dut s'enfuir
Ses arrières couverts par les frères Hurin et Huor
Tous ils tombèrent, les uns après les autres
Dernier de tous, Hurin Thalion fils de Galdor
Lutta désespérément contre la marée ennemie
Soixante-dix corps l'entouraient, aurë entuluva
Lorsqu'il fut capturé, dernier acte de la bataille
Des Larmes Innombrables, où sombra l'espoir.
C'est un texte qui m'est venu "comme ça", n'hésitez pas à émettre des avis ou donner des conseils...
Les trompettes saluant l'aube naissante
Le doute plana un instant sur l'esprit de Fingon
Avant qu'un cri du sud se fasse entendre.
Turgon, Turgon, avait quitté sa blanche cité
Dix mille hommes avec lui prêts à combattre
Renfort inespéré pour la bataille
Utulie'n aurë, utulie'n aurë,
Aura i lomë.
Mais alors que les épées se préparaient
A trancher et tailler dans la chair des Orcs
Vint Gelmir fils de Guilin, et ses bourreaux avec lui
Yeux crevés, mains et pieds tranchés, avant d'agoniser
L'assaut fut lancé alors, impétueux Gwindor
Traversant Anfauglith jusqu'au Thangorodrim, si proche et pourtant
[si loin
Piégés dans la sombre citadelle vouée au démon
Dont nul ne réchappa sauf un
Morts aussi les Haladins avec leur prince Haldir
Les forêts de Brethil resteraient orphelines
Le heaume blanc de Fingon resplendissait
Son frère Turgon et son vassal Hurin luttant à ses côtés
Les Orcs refluaient, la victoire presque acquise
Balrogs et Dragons arrivaient sans cesse et sans succès
Même le Doré, aîné des Dragons, restait presque impuissant
Lorsque soudain l'heur changea de camp.
Les Hommes de l'Est dévoilèrent leur traîtrise
Changeant de camp, attaquant leurs amis
Corrompus et achetés par le maître d'Angband
Mourant par dizaines mais arrivant par centaines
Lors Glaurung se vit encerclé
Par les Naugrim de Belegost aux luisantes armures
Azaghâl s'effondrant, mais vainqueur quand même
Ver Doré blessé dans sa chair maudite.
Fingon seul au milieu des corps logtemps lutta
Contre le Seigneur des Balrogs, inégal combat
Il tomba sous sa sombre hache, Haut Roi des Noldor
Flamme blanche issue du heaume d'argent
Aux Marais de Serech Turgon dut s'enfuir
Ses arrières couverts par les frères Hurin et Huor
Tous ils tombèrent, les uns après les autres
Dernier de tous, Hurin Thalion fils de Galdor
Lutta désespérément contre la marée ennemie
Soixante-dix corps l'entouraient, aurë entuluva
Lorsqu'il fut capturé, dernier acte de la bataille
Des Larmes Innombrables, où sombra l'espoir.
C'est un texte qui m'est venu "comme ça", n'hésitez pas à émettre des avis ou donner des conseils...
The gods forgot they made me, so I forget them too
I listen to the shadows, I play among their graves
I listen to the shadows, I play among their graves