Il n’ose se cacher, pourfendu par l'épée ;
Pourtant il ne pleure, bien que touché en plein coeur.
Son regard triste ne peut plus dissiper,
La belle et tendre douceur du jour qui meurt.
Il chute à terre placidement comme un soldat,
Il ne brûle plus par les usures du temps,
Emballant sous le voile de ses yeux son aura,
Il ne peut la retenir jusqu'au Rohan.
La couleur écarlate lui teinte les yeux,
Donnant de la chaleur à ce champs de bataille,
Il se demande s'ils seront victorieux
Alors que la froidure envahit ses entrailles.
Sachant que sa mort sera aucunement vaine,
Il se laisse partir, il ne peut plus lutter.
Il quitte ce monde de manière sereine,
Ne regrettant pas ses erreurs du passé.
Pourtant il ne pleure, bien que touché en plein coeur.
Son regard triste ne peut plus dissiper,
La belle et tendre douceur du jour qui meurt.
Il chute à terre placidement comme un soldat,
Il ne brûle plus par les usures du temps,
Emballant sous le voile de ses yeux son aura,
Il ne peut la retenir jusqu'au Rohan.
La couleur écarlate lui teinte les yeux,
Donnant de la chaleur à ce champs de bataille,
Il se demande s'ils seront victorieux
Alors que la froidure envahit ses entrailles.
Sachant que sa mort sera aucunement vaine,
Il se laisse partir, il ne peut plus lutter.
Il quitte ce monde de manière sereine,
Ne regrettant pas ses erreurs du passé.