Tu fus si prometteur, auprès D'Aulë,
Quand entre tes mains, or, fer et mithril,
Tout ces métaux ciselés et forgés;
Tu étais un orfèvre très habile.
Mais qu'est ce qu'il t'est passé par la tête,
Quand tu as rejoint les rangs de Melkor,
Par corruption ou envie de conquête
Par la destruction, le sang et la mort.
Barahir, Finrod subirent ton courroux,
Mais la chute de Morgoth fut vaine,
Tu te soumis jusqu'à en finir fou,
Avant de fuir avec toute ta haine.
Après une longue période d'absence,
Tu as de nouveau foulé cette terre,
Cherchant à rallier une armée immense,
T'apprêtant de nouveau à faire la guerre.
Mais ce plan maléfique ne prit jamais
Et te voilà en position d'échec,
Face à des elfes incorruptibles à souhait ;
C'est triste, mais il faudra faire avec !
C'est sous d'autres traits que tu réussis,
À Ost-in-Edhil et en Eregion ;
Mais Galadriel dû faire un repli
Perdant face à tes nouvelles légions.
Ost-in-Edhil fut grâce aux maitre-orfèvres,
La Terre natale des Anneaux de Pouvoir,
Forgés à la cadence d'un "marche ou crève",
Sous ta direction et ton bon vouloir.
Mais la confection de l'Anneau Unique,
Déclencha la colère des autres ethnies,
Plongeant le monde dans une guerre empirique,
Allant jusqu'à te chercher dans ton nid.
Séquestré par les Númenóréens,
Où tu y corrompis leur éminence,
Ilúvatar détruisit de sa main
Ton corps lors d'un raz de marée immense.
Pendant le désastre ton esprit fuit,
En prenant la direction du Mordor ;
C'est en ce lieu que tu t'es reconstruit
En attendant d'attaquer le Gondor.
C'est lors de ta retraite qu'Isildur,
Elendil et Gil-galad t'ont vaincu
Sans faire attention au mauvais augure
Car l'Anneau récupérer fut perdu.
La suite, inutile que je te la narre,
"La chute de Sauron le détestable",
Tu l'as connais mieux que tous, au revoir !
Toi qui fus nommé "Mairon l'admirable".
Quand entre tes mains, or, fer et mithril,
Tout ces métaux ciselés et forgés;
Tu étais un orfèvre très habile.
Mais qu'est ce qu'il t'est passé par la tête,
Quand tu as rejoint les rangs de Melkor,
Par corruption ou envie de conquête
Par la destruction, le sang et la mort.
Barahir, Finrod subirent ton courroux,
Mais la chute de Morgoth fut vaine,
Tu te soumis jusqu'à en finir fou,
Avant de fuir avec toute ta haine.
Après une longue période d'absence,
Tu as de nouveau foulé cette terre,
Cherchant à rallier une armée immense,
T'apprêtant de nouveau à faire la guerre.
Mais ce plan maléfique ne prit jamais
Et te voilà en position d'échec,
Face à des elfes incorruptibles à souhait ;
C'est triste, mais il faudra faire avec !
C'est sous d'autres traits que tu réussis,
À Ost-in-Edhil et en Eregion ;
Mais Galadriel dû faire un repli
Perdant face à tes nouvelles légions.
Ost-in-Edhil fut grâce aux maitre-orfèvres,
La Terre natale des Anneaux de Pouvoir,
Forgés à la cadence d'un "marche ou crève",
Sous ta direction et ton bon vouloir.
Mais la confection de l'Anneau Unique,
Déclencha la colère des autres ethnies,
Plongeant le monde dans une guerre empirique,
Allant jusqu'à te chercher dans ton nid.
Séquestré par les Númenóréens,
Où tu y corrompis leur éminence,
Ilúvatar détruisit de sa main
Ton corps lors d'un raz de marée immense.
Pendant le désastre ton esprit fuit,
En prenant la direction du Mordor ;
C'est en ce lieu que tu t'es reconstruit
En attendant d'attaquer le Gondor.
C'est lors de ta retraite qu'Isildur,
Elendil et Gil-galad t'ont vaincu
Sans faire attention au mauvais augure
Car l'Anneau récupérer fut perdu.
La suite, inutile que je te la narre,
"La chute de Sauron le détestable",
Tu l'as connais mieux que tous, au revoir !
Toi qui fus nommé "Mairon l'admirable".