01.10.2011, 19:32
Mirkwood
Les arches au dessus de moi s'élèvent
Masquant à mes yeux le ciel d'azur
Qui peut-être jamais ne reverrai-je.
En ces lieux pourtant nulle douleur ne dure
Car le cœur qui souffre s'y surprend léger
Et le corps fatigué retrouve sa vigueur;
Sous les feuilles du royaume sylvestre oublié
Mon âme de mortel y trouve sa demeure.
Comblée par tes parfums et tes charmes
Elle oublie les tours de pierre et les dalles.
Ici se trouvent les rêves des tristes hommes
Qui se sont lassés de leurs enfilades.
Me frayant un chemin entre tes arbres,
Forêt enchanteresse je t'adopte.
Et dans l'espoir d'au moins te plaire
Je m’étends parmi tes feuilles d'or.
Sous les entrelacs de ton feuillage
Je me plais à croire que le monde est beau ;
Qu’à l’emprise du mal tu fais barrages
Et que chez toi, tout ce qui coule n’est qu’eau.
Les arches au dessus de moi s'élèvent
Masquant à mes yeux le ciel d'azur
Qui peut-être jamais ne reverrai-je.
En ces lieux pourtant nulle douleur ne dure
Car le cœur qui souffre s'y surprend léger
Et le corps fatigué retrouve sa vigueur;
Sous les feuilles du royaume sylvestre oublié
Mon âme de mortel y trouve sa demeure.
Comblée par tes parfums et tes charmes
Elle oublie les tours de pierre et les dalles.
Ici se trouvent les rêves des tristes hommes
Qui se sont lassés de leurs enfilades.
Me frayant un chemin entre tes arbres,
Forêt enchanteresse je t'adopte.
Et dans l'espoir d'au moins te plaire
Je m’étends parmi tes feuilles d'or.
Sous les entrelacs de ton feuillage
Je me plais à croire que le monde est beau ;
Qu’à l’emprise du mal tu fais barrages
Et que chez toi, tout ce qui coule n’est qu’eau.