01.10.2011, 19:30
Nan Tathren
Nulle mélodie ne peut clamer sa beauté,
Ah pensée immensurable avec le langage
Nan Tathren, ô saveur d’un rêve immaculé
Tout en illusions et mirages indicibles
Auguste, Ulmo est de Yavanna l’obligé
Torrents fleuves et ruisseaux se fondent en eaux paisibles
Hauts et nobles s’étendent là les saules verts
Riche et fertiles les prairies même en hiver
Eclair d’émeraude, d’azur, d’or ce paysage
Ne pouvant exister hors de la poésie
Terre éternelle de fleurs, d’oiseaux et d’ombrage,
Asile d’oubli ou havre de confluence,
Sauvage refuge d’exilés, de maudits,
Ayant pu pour un temps soulager les souffrances
Remords et disgrâces de cette époque honnie
Iris d’eau, douces senteurs et miel
Ne résument seuls cette enclave de soleil
Alas, nul ne parcourt plus cette vallée d’enchantement
Nul ne chante plus ni ne rit dans ses saussaies au printemps
Nulle mélodie ne peut clamer sa beauté,
Ah pensée immensurable avec le langage
Nan Tathren, ô saveur d’un rêve immaculé
Tout en illusions et mirages indicibles
Auguste, Ulmo est de Yavanna l’obligé
Torrents fleuves et ruisseaux se fondent en eaux paisibles
Hauts et nobles s’étendent là les saules verts
Riche et fertiles les prairies même en hiver
Eclair d’émeraude, d’azur, d’or ce paysage
Ne pouvant exister hors de la poésie
Terre éternelle de fleurs, d’oiseaux et d’ombrage,
Asile d’oubli ou havre de confluence,
Sauvage refuge d’exilés, de maudits,
Ayant pu pour un temps soulager les souffrances
Remords et disgrâces de cette époque honnie
Iris d’eau, douces senteurs et miel
Ne résument seuls cette enclave de soleil
Alas, nul ne parcourt plus cette vallée d’enchantement
Nul ne chante plus ni ne rit dans ses saussaies au printemps