14.03.2004, 22:30
Bien le bonjour tout le monde! Je suis ici aujourd'hui pour parler d'une oeuvre fait par un grand (voir très grand à mes yeux) artiste et qui semble bien souvent, et à grand tord, négligé par beaucoup de "tolkienophiles" (j'avais envie d'inventer une appellation pour le plaisir).
- Ce compositeur s'appelle Johan de Meij. Il composa en 1988 une grande oeuvre pour Orchestre d'Harmonie qui est basée sur les textes de Tolkien et plus précisement le seigneur des anneaux. On peut y sentir beaucoup d'éléments de l'oeuvre et, rien qu'en fermant les yeux et avec un peu d'imagination l'on pourrait se croire dans la Terre du Milieu et y voir les personnages/ actions s'y déroulant.
- Soit dit au passage, l'oeuvre eut aussi le droit à son moment de gloire et fût récompensée de titres très honorifiques à New York comme à chicago (Prix International de Composition Sudler en 1989 ... Cela ne vous dira pas grand chose mais quand on a un titre comme celui là on n'a plus rien à prouver).
Pourquoi est ce que je vous parle de cette oeuvre? Parcequ'il m'est arrivé de la jouer et je vous avoue franchement que ce fût un véritable bonheur pour moi (et non, je ne vous direz pas quel instrument je joue, nah!).
Il n'y a pas qu'au cinéma qu'il y a de bonnes choses de faites...
Voilà, j'espère que personne n'en a parlé avant moi, mais de toute façon si c'étais le cas cela vaut bien le coup d'être souligné deux fois plutôt qu'une. Merci de m'avoir lu et peut être d'écouter pour les personnes interressées.
- Ce compositeur s'appelle Johan de Meij. Il composa en 1988 une grande oeuvre pour Orchestre d'Harmonie qui est basée sur les textes de Tolkien et plus précisement le seigneur des anneaux. On peut y sentir beaucoup d'éléments de l'oeuvre et, rien qu'en fermant les yeux et avec un peu d'imagination l'on pourrait se croire dans la Terre du Milieu et y voir les personnages/ actions s'y déroulant.
- Soit dit au passage, l'oeuvre eut aussi le droit à son moment de gloire et fût récompensée de titres très honorifiques à New York comme à chicago (Prix International de Composition Sudler en 1989 ... Cela ne vous dira pas grand chose mais quand on a un titre comme celui là on n'a plus rien à prouver).
Pourquoi est ce que je vous parle de cette oeuvre? Parcequ'il m'est arrivé de la jouer et je vous avoue franchement que ce fût un véritable bonheur pour moi (et non, je ne vous direz pas quel instrument je joue, nah!).
Il n'y a pas qu'au cinéma qu'il y a de bonnes choses de faites...
Voilà, j'espère que personne n'en a parlé avant moi, mais de toute façon si c'étais le cas cela vaut bien le coup d'être souligné deux fois plutôt qu'une. Merci de m'avoir lu et peut être d'écouter pour les personnes interressées.