05.04.2003, 16:29
Vahaya sin
Le fracas des armes se tait,
Le brouillard lève son voile
Et libère les cimes des arbres,
Laissant apparaître des terres désolées
Qui furent un court instant,
Le paradis des ombres.
Beaucoup de braves sont tombés,
Leurs esprits quittent les enveloppes,
Et entreprennent le voyage vers Mandos.
Loin, très loin est désormais
La vie de la Cité.
Le vent rugit dans les ruines,
Les arbres pleurent leurs feuilles
Sur ce sol couvert de cicatrices,
Où se sont ouvert les abysses.
La mort étincelante sest répandue
A travers les terres gorgées de sang
Et dépées brisées.
La beauté a été jetée à bas,
Et des frères se sont envolés.
Tout est disparate
Comme les profondeurs du Mordor.
Le mal ne peut être dénombré,
Tant la terre sest effondrée.
Les habitants se mettent à luvre
Afin que la chaleur règne en ces lieux
Qui seront plus quavant chéris et aimés.
Le fracas des armes se tait,
Le brouillard lève son voile
Et libère les cimes des arbres,
Laissant apparaître des terres désolées
Qui furent un court instant,
Le paradis des ombres.
Beaucoup de braves sont tombés,
Leurs esprits quittent les enveloppes,
Et entreprennent le voyage vers Mandos.
Loin, très loin est désormais
La vie de la Cité.
Le vent rugit dans les ruines,
Les arbres pleurent leurs feuilles
Sur ce sol couvert de cicatrices,
Où se sont ouvert les abysses.
La mort étincelante sest répandue
A travers les terres gorgées de sang
Et dépées brisées.
La beauté a été jetée à bas,
Et des frères se sont envolés.
Tout est disparate
Comme les profondeurs du Mordor.
Le mal ne peut être dénombré,
Tant la terre sest effondrée.
Les habitants se mettent à luvre
Afin que la chaleur règne en ces lieux
Qui seront plus quavant chéris et aimés.