08.04.2006, 14:04
En partie inspiré du Silmarillion (J'ai emprunté des noms par-cì par là et je sais que Gondolin n'est pas la capitale des Elfes^^)
Jadis quand la première herbe de ce monde poussait sur les collines,
Et que les arbres étendaient leurs jeunes racines,
Quand le monde n'était pas encore souillé par le Mal,
Et que les Elfes naissaient dans les Vertes Salles,
Une petite Fée perdue pleurait, pleurait,
Et des premières larmes de ce monde qui tombaient, tombaient,
Germèrent les Arbres Saints de Valinor,
Qui longtemps réparèrent dans le pays tout tort,
Pendant trois printemps les Arbres poussèrent,
Et quand enfin leurs bourgeons éclatèrent,
Apparurent les premières fleurs,
Et fondirent bien des coeurs,
Les Elfes s'installèrent devant les Saints,
Et fondèrent leur capitale Gondolin,
Et durant mille millénaires crûrent les Arbres,
Devant la Blanche Cité faite de marbre,
Mais la Lumière attiraient les Ténèbres,
Ungoliant l'araignée-reine des terres funèbres,
Ne prit pas beaucoup de temps,
Pour étaler sur la colline le sang innocent,
Mais que peut l'Obscurité,
Sinon de défaillir devant une telle sainteté,
Contre la chose la plus pure,
Quoi d'autre peut-il faire sinon s'enfuir dans ses sombres masures ?
Et jusqu'à la fin du monde,
Même quand les Ténèbres grondent,
Les Arbres Eternels furent toujours là,
Et jamais ils ne desséchèrent Là-Bas,
Les Elfes et les Fées vécurent heureux,
Dans leur Paradis majestueux,
Tandis que mouraient et vieillissaient les Mortels,
Et s'envolaient leur âme au Ciel...
Jadis quand la première herbe de ce monde poussait sur les collines,
Et que les arbres étendaient leurs jeunes racines,
Quand le monde n'était pas encore souillé par le Mal,
Et que les Elfes naissaient dans les Vertes Salles,
Une petite Fée perdue pleurait, pleurait,
Et des premières larmes de ce monde qui tombaient, tombaient,
Germèrent les Arbres Saints de Valinor,
Qui longtemps réparèrent dans le pays tout tort,
Pendant trois printemps les Arbres poussèrent,
Et quand enfin leurs bourgeons éclatèrent,
Apparurent les premières fleurs,
Et fondirent bien des coeurs,
Les Elfes s'installèrent devant les Saints,
Et fondèrent leur capitale Gondolin,
Et durant mille millénaires crûrent les Arbres,
Devant la Blanche Cité faite de marbre,
Mais la Lumière attiraient les Ténèbres,
Ungoliant l'araignée-reine des terres funèbres,
Ne prit pas beaucoup de temps,
Pour étaler sur la colline le sang innocent,
Mais que peut l'Obscurité,
Sinon de défaillir devant une telle sainteté,
Contre la chose la plus pure,
Quoi d'autre peut-il faire sinon s'enfuir dans ses sombres masures ?
Et jusqu'à la fin du monde,
Même quand les Ténèbres grondent,
Les Arbres Eternels furent toujours là,
Et jamais ils ne desséchèrent Là-Bas,
Les Elfes et les Fées vécurent heureux,
Dans leur Paradis majestueux,
Tandis que mouraient et vieillissaient les Mortels,
Et s'envolaient leur âme au Ciel...