07.09.2005, 16:54
Un petit poème, il y avait longtemps !
Zirak-Zigil
Tout là-haut se dressait la grandTour de Durin
Immense et immobile au fronton des nuages
Son ombre reposait sur les flancs de la Mine
Et son nom résistait aux assauts de cet Âge.
Zirak-Zigil laissait planer son ombre noire
Sur les bords décharnés des rochers alentours
Son air peu complaisant, sa froidure notoire,
Nen faisaient approcher que de rares vautours.
Et pourtant en son cur sélevaient en spirale
Un Escalier Sans Fin bâti aux temps jadis
Reliant les sommets aux caves sépulcrales,
La sagesse du Père, et les tombeaux des fils.
Tout là-haut se dressait la grandTour de Durin
Elle affrontait le temps, les fléaux, les combats,
Quand les Nains nétaient plus, elle affrontait la ruine,
Et les orques venus elle était toujours là.
Mais au loin le tonnerre a fait sonner son glas
Les profondeurs sans nom ont frémi, ont gémi,
Un murmure confus est remonté den bas,
Sous le feu des flambeaux le Balrog a jailli.
Ni le fer de lépée, ni le fil de la hache
Ne pouvaient entailler son cuir épais et sombre ;
Qui dautre quun Istar affronterait la tâche ?
Voilà Gandalf qui gravit les degrés sans nombre,
Qui atteint, épuisé, la cime de la Tour
Et qui livre en ce lieu le plus dur de lassaut ;
Il vainc finalement, et le cadavre lourd
En chutant fait crouler tout le flanc du coteau.
Tout là-haut se dressait la grandTour de Durin
Mais ses débris encombrent lEscalier Sans Fin ;
On se souvient pourtant de son nom dans la Mine,
On se souvient toujours de la fierté des Nains.
Divitiac, pour vous servir
Zirak-Zigil
Tout là-haut se dressait la grandTour de Durin
Immense et immobile au fronton des nuages
Son ombre reposait sur les flancs de la Mine
Et son nom résistait aux assauts de cet Âge.
Zirak-Zigil laissait planer son ombre noire
Sur les bords décharnés des rochers alentours
Son air peu complaisant, sa froidure notoire,
Nen faisaient approcher que de rares vautours.
Et pourtant en son cur sélevaient en spirale
Un Escalier Sans Fin bâti aux temps jadis
Reliant les sommets aux caves sépulcrales,
La sagesse du Père, et les tombeaux des fils.
Tout là-haut se dressait la grandTour de Durin
Elle affrontait le temps, les fléaux, les combats,
Quand les Nains nétaient plus, elle affrontait la ruine,
Et les orques venus elle était toujours là.
Mais au loin le tonnerre a fait sonner son glas
Les profondeurs sans nom ont frémi, ont gémi,
Un murmure confus est remonté den bas,
Sous le feu des flambeaux le Balrog a jailli.
Ni le fer de lépée, ni le fil de la hache
Ne pouvaient entailler son cuir épais et sombre ;
Qui dautre quun Istar affronterait la tâche ?
Voilà Gandalf qui gravit les degrés sans nombre,
Qui atteint, épuisé, la cime de la Tour
Et qui livre en ce lieu le plus dur de lassaut ;
Il vainc finalement, et le cadavre lourd
En chutant fait crouler tout le flanc du coteau.
Tout là-haut se dressait la grandTour de Durin
Mais ses débris encombrent lEscalier Sans Fin ;
On se souvient pourtant de son nom dans la Mine,
On se souvient toujours de la fierté des Nains.
Divitiac, pour vous servir