12.11.2004, 15:39
Un carillon léger résonne dans la nuit:
les Elfes nous appelllent; le navire est fini,
il appareillera dans deux ou trois aurores,
et pour nous ils murmurent une chanson encore...
Suivons-les! ils s'en vont pour ne plus revenir!
nous regretterions trop leurs visages et leurs rires,
et leur si voix si limpide que le chant du ruisseau:
nous n'avons qu'à franchir le pont du blanc vaisseau!
Le souffle le la mer et la paix de cette île
aux cascades glacées et aux rives tranquilles
les contes dans la nuit et la voix de la harpe
et au cou des Eldars, la brume pour écharpe...
Le vaisseau va partir; il faut partir aussi!
sa cloche tinte et sonne dans l'aube qui blanchit;
et sur la mer, un cygne étrange au cou ployé;
trop tard! adieu, Eldars, jusqu'en Avallonë!
les Elfes nous appelllent; le navire est fini,
il appareillera dans deux ou trois aurores,
et pour nous ils murmurent une chanson encore...
Suivons-les! ils s'en vont pour ne plus revenir!
nous regretterions trop leurs visages et leurs rires,
et leur si voix si limpide que le chant du ruisseau:
nous n'avons qu'à franchir le pont du blanc vaisseau!
Le souffle le la mer et la paix de cette île
aux cascades glacées et aux rives tranquilles
les contes dans la nuit et la voix de la harpe
et au cou des Eldars, la brume pour écharpe...
Le vaisseau va partir; il faut partir aussi!
sa cloche tinte et sonne dans l'aube qui blanchit;
et sur la mer, un cygne étrange au cou ployé;
trop tard! adieu, Eldars, jusqu'en Avallonë!