04.04.2004, 23:11
.. la chambre de mazarboul est troublée par la montée des hordes d'orcs venus des profondeurs...
On entendait leurs pas dans les sombres cavernes,
Leurs armes sentrechoquant sur le rythme viril
De leurs pas cadencés rapprochant le péril,
Leurs cris, leur engouement pour lattaque soudaine,
Leur haine pour ce qui vit et se meut sur la terre ;
Ils présentaient leurs crocs aux elfes du Lindon
Et ils mêlaient le sang au vin du Dorwinion,
Le plus humble de tous ils menaçaient du fer ;
Leur courroux semblait être le souffle de leur vie
Et, maudits à jamais, leur enflait leur envie.
On entendait leurs pas, ils étaient proches alors,
Ils glapissaient, haineux, tout le mal quils pouvaient
Et déjà les premiers non loin apparaissaient,
Furtifs et malicieux dans leurs débiles corps.
La compagnie frémit, lelfe banda son arc
Le nain serra sa hache, les hobbits leurs épées
Le magicien dun bond se jeta au côté,
Près de lui savançaient capitaine et monarque
Tous prêts à retenir limminente menace
Des cimeterres orcs brandis devant leurs faces.
On entendait leurs pas et leurs coups répétés
Ils mugissaient, grondaient, à laffût dune faille
Par laquelle glisseraient leurs bras couverts décailles
Pour saisir et occire lennemi exécré.
Comme autrefois des nains ils feraient leur festin
De ces êtres chétifs à la lame rebelle
Qui bientôt grilleraient dessus une étincelle
Ou pendraient, crâne ouvert, pour un hiver prochain.
Bientôt ils tailleraient, bientôt la débandade
Bientôt ils goûteraient à cette viande fade.
On entendait leurs pas, ils étaient là enfin
Mais cétait sans compter la valeur des cinq races ;
La compagnie glorieuse éloigna la menace
Et fuit, non sans honneur, vers la sortie au loin
Traversant les antiques et sombres galeries,
Les flèches fendant lair et les lames sifflantes,
La sueur et le sang se mêlaient dans les flammes
Du Balrog invaincu, le Fléau de jadis,
Qui périt sous la flamme du pèlerin gris.
LAnneau finalement a trouvé la sortie.
Divitiac, pour vous servir
On entendait leurs pas dans les sombres cavernes,
Leurs armes sentrechoquant sur le rythme viril
De leurs pas cadencés rapprochant le péril,
Leurs cris, leur engouement pour lattaque soudaine,
Leur haine pour ce qui vit et se meut sur la terre ;
Ils présentaient leurs crocs aux elfes du Lindon
Et ils mêlaient le sang au vin du Dorwinion,
Le plus humble de tous ils menaçaient du fer ;
Leur courroux semblait être le souffle de leur vie
Et, maudits à jamais, leur enflait leur envie.
On entendait leurs pas, ils étaient proches alors,
Ils glapissaient, haineux, tout le mal quils pouvaient
Et déjà les premiers non loin apparaissaient,
Furtifs et malicieux dans leurs débiles corps.
La compagnie frémit, lelfe banda son arc
Le nain serra sa hache, les hobbits leurs épées
Le magicien dun bond se jeta au côté,
Près de lui savançaient capitaine et monarque
Tous prêts à retenir limminente menace
Des cimeterres orcs brandis devant leurs faces.
On entendait leurs pas et leurs coups répétés
Ils mugissaient, grondaient, à laffût dune faille
Par laquelle glisseraient leurs bras couverts décailles
Pour saisir et occire lennemi exécré.
Comme autrefois des nains ils feraient leur festin
De ces êtres chétifs à la lame rebelle
Qui bientôt grilleraient dessus une étincelle
Ou pendraient, crâne ouvert, pour un hiver prochain.
Bientôt ils tailleraient, bientôt la débandade
Bientôt ils goûteraient à cette viande fade.
On entendait leurs pas, ils étaient là enfin
Mais cétait sans compter la valeur des cinq races ;
La compagnie glorieuse éloigna la menace
Et fuit, non sans honneur, vers la sortie au loin
Traversant les antiques et sombres galeries,
Les flèches fendant lair et les lames sifflantes,
La sueur et le sang se mêlaient dans les flammes
Du Balrog invaincu, le Fléau de jadis,
Qui périt sous la flamme du pèlerin gris.
LAnneau finalement a trouvé la sortie.
Divitiac, pour vous servir