27.03.2004, 18:03
Il pleut,
Il pleut sur la lande infinie,
Il pleut, il vente à midi
Le Mordor noie son feu.
Il vente,
Et le vent soulève la poussière
L'air est vicié, la toux, et la colère
Retombent, impuissantes.
La nuit
Recouvre ces vastes étendues
Ou l'âme erre en vain sous les nues
Qui fuient.
La mort,
La mort se dresse, et son flambeau
Est létendard des lâches et des faux
Qui sen vont en Mordor.
La guerre,
La guerre enfin, la guerre encore
La guerre terrible au son des cors
Dans la poussière.
Il pleut,
Il pleut, et s'estompe la vue
Le jour tremblant reprend son dû
L'heure du feu.
Divitiac
Il pleut sur la lande infinie,
Il pleut, il vente à midi
Le Mordor noie son feu.
Il vente,
Et le vent soulève la poussière
L'air est vicié, la toux, et la colère
Retombent, impuissantes.
La nuit
Recouvre ces vastes étendues
Ou l'âme erre en vain sous les nues
Qui fuient.
La mort,
La mort se dresse, et son flambeau
Est létendard des lâches et des faux
Qui sen vont en Mordor.
La guerre,
La guerre enfin, la guerre encore
La guerre terrible au son des cors
Dans la poussière.
Il pleut,
Il pleut, et s'estompe la vue
Le jour tremblant reprend son dû
L'heure du feu.
Divitiac