11.12.2003, 19:40
Voilà un chtit poème que Galadhilmë et moi avons fait sur sa proposition, nous en avons chacun écrit une partie, alors je vous laisse deviner qui a écrit quoi, en sachant qu'elle en a fait un peu plus que moi, et que ce qu'elle a fait est tout simplement magnifique, poignant... comment dire... lol!
On réfléchit au titre et on vous soumet ça sous peu!
c'est une main agile qui s'en vient sous la lune
tremper ses doigts d'opale à la rosée d'argent,
c'est une ombre qui passe en frôlant de ses plumes
le rêveur égaré et accablé du temps...
c'est une pâle lumière,vivante et éphemère,
arrosant l'herbe au pas d'un pied précautionneux,
ce sont de grands yeux doux et profonds comme la mer,
c'est un reflet d'étoile dans un flot de cheveux...
c'est une voix infime, très claire ou sépulchrale,
qui s'élève et retombe en un chant ancestral,
qui chante comme le vent chante aux voiles des navires,
une voix chargée de larmes qui s'élance et chavire...
c'est un sourire dans l'ombre, l'éclat soudain d'un oeil,
un visage au détour du miroitement des feuilles,
c'est un mal nostalgique et un savoir immense,
c'est un esprit lointain dans une âme qui danse,
c'est un bras qui entoure, qui berce et qui rassure,
un mal inguérissable, une pauvre blessure...
c'est un murmure elfique sous les feuilles du printemps,
une chanson très pure qui appelle les larmes,
c'est une parole si triste et douce qu'elle désarme,
c'est un chant oublié depuis la nuit des temps...
c'est un chant sous la Lune, à la gloire des étoiles,
de doux mots de regret d'une époque si lointaine,
dont douloureusement on tente de lever le voile,
c'est une sagesse immense, qui s'éteint dans la peine...
c'est un coeur si las, de tant d'années d'errance,
une âme fatiguée, de siècles d'existence,
c'est la mémoire d'un peuple depuis longtemps parti
de sa terre ancestrale, par les années meurtrie...
c'est un espoir pourtant, Eärendil luit encore,
ce sont des mots qui disent que l'on oubliera pas
et si Isil des autres astres fait ternir l'éclat,
Le souvenir du peuple des étoiles n'est pas mort...
On réfléchit au titre et on vous soumet ça sous peu!
c'est une main agile qui s'en vient sous la lune
tremper ses doigts d'opale à la rosée d'argent,
c'est une ombre qui passe en frôlant de ses plumes
le rêveur égaré et accablé du temps...
c'est une pâle lumière,vivante et éphemère,
arrosant l'herbe au pas d'un pied précautionneux,
ce sont de grands yeux doux et profonds comme la mer,
c'est un reflet d'étoile dans un flot de cheveux...
c'est une voix infime, très claire ou sépulchrale,
qui s'élève et retombe en un chant ancestral,
qui chante comme le vent chante aux voiles des navires,
une voix chargée de larmes qui s'élance et chavire...
c'est un sourire dans l'ombre, l'éclat soudain d'un oeil,
un visage au détour du miroitement des feuilles,
c'est un mal nostalgique et un savoir immense,
c'est un esprit lointain dans une âme qui danse,
c'est un bras qui entoure, qui berce et qui rassure,
un mal inguérissable, une pauvre blessure...
c'est un murmure elfique sous les feuilles du printemps,
une chanson très pure qui appelle les larmes,
c'est une parole si triste et douce qu'elle désarme,
c'est un chant oublié depuis la nuit des temps...
c'est un chant sous la Lune, à la gloire des étoiles,
de doux mots de regret d'une époque si lointaine,
dont douloureusement on tente de lever le voile,
c'est une sagesse immense, qui s'éteint dans la peine...
c'est un coeur si las, de tant d'années d'errance,
une âme fatiguée, de siècles d'existence,
c'est la mémoire d'un peuple depuis longtemps parti
de sa terre ancestrale, par les années meurtrie...
c'est un espoir pourtant, Eärendil luit encore,
ce sont des mots qui disent que l'on oubliera pas
et si Isil des autres astres fait ternir l'éclat,
Le souvenir du peuple des étoiles n'est pas mort...
