29.03.2005, 00:11
Voici les réponses:
1) Ces civilisations supposées, ayant une fin, doivent bien évidemment avoir un début. Je ne connais pas ce début, je ne saurais vraiment le dater, mais déja l'évidence de la palice (un peu bête, c'est vrai, mais vraie) est que ce début aurait eu lieu entre l'apparition d'Homo Sapiens Sapiens (-120 000) et la déglaciation de Wurm (-10500). C'est vrai que c'est très large comme fourchette.
Maintenant pour faire un peu plus précis, je suppose (mais ce n'est qu'une opinion personnelle) qu'elles seraient apparues à partir de -35000, car c'est vers cette date qu'apparaissent les premières formes d'expression artistique abstractisées et représentées par des images, peintures rupestres, statuettes, instruments de musique, etc, un peu partout sur terre. C'est également vers cette époque qu'en Europe Néanderthal disparait totalement et que Cro-Magnon reste la seule forme humaine existante. Cette date correspond donc au passage du paléolithique moyen (-400 000 / -35000) au paléolithique supérieur (-35000 / -10500). Ces civilisations supposées seraient donc apparues entre -35000 et -10500.
2) L'événement de la remontée des eaux a été progressif, et non ponctuel, seules ses 2 extrémités (début et fin) sont ponctuelles, on ne peut donc véritablement dater ponctuellement un événement précis comme la destruction de l'atlantide, mais donner la période pendant laquelle il eut progressivement lieu (-10500 / -10 000 / -3500).
Cependant, pour un site précis et localisé en un point de l'espace, on peut dire que la date précise de sa destruction correspondrait au moment où la mer l'aurait complètement immergé.
Enfin, je confirme que, si les infrastructures sont détruites, les populations survivent et se déplacent.
Exception si, en un lieu particulier à un moment particulier et pour des raisons particulières, se passe une forme de rupture, d'accélération de la remontée des eaux ou de ses conséquences sur le terrain (débordement d'un fleuve, effondrement, glissement de terrain...), provoquant une catastrophe locale pouvant surprendre les habitants et ne pas leur laisser le temps de fuir. Ce cas de figure resterait bien sur localisé, rare et imprévisible.
1) Ces civilisations supposées, ayant une fin, doivent bien évidemment avoir un début. Je ne connais pas ce début, je ne saurais vraiment le dater, mais déja l'évidence de la palice (un peu bête, c'est vrai, mais vraie) est que ce début aurait eu lieu entre l'apparition d'Homo Sapiens Sapiens (-120 000) et la déglaciation de Wurm (-10500). C'est vrai que c'est très large comme fourchette.
Maintenant pour faire un peu plus précis, je suppose (mais ce n'est qu'une opinion personnelle) qu'elles seraient apparues à partir de -35000, car c'est vers cette date qu'apparaissent les premières formes d'expression artistique abstractisées et représentées par des images, peintures rupestres, statuettes, instruments de musique, etc, un peu partout sur terre. C'est également vers cette époque qu'en Europe Néanderthal disparait totalement et que Cro-Magnon reste la seule forme humaine existante. Cette date correspond donc au passage du paléolithique moyen (-400 000 / -35000) au paléolithique supérieur (-35000 / -10500). Ces civilisations supposées seraient donc apparues entre -35000 et -10500.
2) L'événement de la remontée des eaux a été progressif, et non ponctuel, seules ses 2 extrémités (début et fin) sont ponctuelles, on ne peut donc véritablement dater ponctuellement un événement précis comme la destruction de l'atlantide, mais donner la période pendant laquelle il eut progressivement lieu (-10500 / -10 000 / -3500).
Cependant, pour un site précis et localisé en un point de l'espace, on peut dire que la date précise de sa destruction correspondrait au moment où la mer l'aurait complètement immergé.
Enfin, je confirme que, si les infrastructures sont détruites, les populations survivent et se déplacent.
Exception si, en un lieu particulier à un moment particulier et pour des raisons particulières, se passe une forme de rupture, d'accélération de la remontée des eaux ou de ses conséquences sur le terrain (débordement d'un fleuve, effondrement, glissement de terrain...), provoquant une catastrophe locale pouvant surprendre les habitants et ne pas leur laisser le temps de fuir. Ce cas de figure resterait bien sur localisé, rare et imprévisible.