18.01.2014, 18:48
Je reprends ce fuseau, d'abord pour citer le fuseau équivalent côté JRRVF, nettement plus complet que celui-ci en ce qui concerne les références : http://www.jrrvf.com/fluxbb/viewtopic.php?id=1521
On pourrait d'ailleurs en ajouter un certain nombre depuis, mais je me contenterais pour l'heure de signaler un élément très intéressant, sur lequel je suis un peu tombé par hasard : il s'avère que Tolkien sur la fin de sa carrière connaissait et appréciait les travaux de Dumézil, à tel point qu'il encouragea vivement un de ses étudiants de l'époque, J.S. Ryan, à assister à une conférence de Dumézil à Oxford (Ryan, Tolkien's View: Windows into his World, p. xiii).
En croisant la période où Ryan étudiait à Oxford et la biographie de Dumézil, une seule date est possible : mai 1956, quand Dumézil vint à Oxford à l'initiative du professeur E.O.G. Turville-Petre (ancien étudiant de Tolkien) pour donner des conférences qui correspondent aux trois premiers chapitres de son futur livre les Dieux des Germains (1959). Nulle surprise que pareil sujet ait semblé intéressant aux yeux de Tolkien.
On pourrait d'ailleurs en ajouter un certain nombre depuis, mais je me contenterais pour l'heure de signaler un élément très intéressant, sur lequel je suis un peu tombé par hasard : il s'avère que Tolkien sur la fin de sa carrière connaissait et appréciait les travaux de Dumézil, à tel point qu'il encouragea vivement un de ses étudiants de l'époque, J.S. Ryan, à assister à une conférence de Dumézil à Oxford (Ryan, Tolkien's View: Windows into his World, p. xiii).
En croisant la période où Ryan étudiait à Oxford et la biographie de Dumézil, une seule date est possible : mai 1956, quand Dumézil vint à Oxford à l'initiative du professeur E.O.G. Turville-Petre (ancien étudiant de Tolkien) pour donner des conférences qui correspondent aux trois premiers chapitres de son futur livre les Dieux des Germains (1959). Nulle surprise que pareil sujet ait semblé intéressant aux yeux de Tolkien.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland