26.03.2004, 20:39
Voici la suite :
Le deuxième personnage était également un dieu, cétait Aulë, dieu forgeon, qui créa les nains. Aulë était de la même taille que son compagnon, mais il était beaucoup moins richement habillé. Ses jambes étaient recouvertes de cuir qui le protégeait des éclats du métal quil battait toute la journée. Il avait des grosses mains de travailleur, mais cependant, il paraissait moins vieux que Ulmo.
Ces deux compères sapprochèrent de Mandos. Des paroles séchangèrent, des rires émanaient de la conversation. Soudain, Mandos se leva et suivi ses deux compagnons dans le fond de la caverne. On entendit une porte souvrir, puis se fermer et une clef tourna dans la serrure. Les morts étaient maintenant seuls dans la grande caverne. Tous les esprits séveillèrent, mais aucun être ne bougea, sauf Curunir, qui au fil du temps avait élaboré une stratégie dévasion. Il bondit sur ses pieds et ha vers Feanor et ses fils.
Lorsquil arriva au niveau de lelfe, il sapprocha de lui, celui-ci ne sembla pas se préoccuper de cette présence. Saroumane se pencha à son oreille et lui siffla :
« Il me semble, elfe que vous êtes Feanor, seigneur des Silmarils et que votre veux le plus cher serait de les retrouver.
- Oui, je suis Feanor, je suis prisonnier de cette caverne, retenu par mon
serment et nattends plus rien de personne, alors laissez moi je vous prie. »
Saroumane, cependant ne séloigna pas, mais passa sa main derrière son dos, puis la mit devant les yeux Feanor et louvrit. Sa main portait lun des joyaux que Feanor recherchait. Cétait une pierre de taille moyenne, dune couleur noire avec une sorte de lumière qui brillait en son centre. Cette lueur brillait dans les yeux de Feanor dont le visage sémerveillait face à ce miracle.
« Est-ce possible, cela est-il bien une des pierres ?
- Oui, et je sait où se trouvent les autres, lui expliqua Curunir. Figures-toi que avant de descendre ici, je les ai rassemblées dans un endroit secret et je te les montrerais et te les rendrais volontiers si nous pouvions sortir dici.
- Attendons le retour de Mandos et je lui expliquerait que mon serment est accompli sil me libère, je temmènerais alors avec moi et nous irons chercher les pierres.
- Oui, cest une bonne idée, attendons son retour. »
Et sur ce, Saroumane sen retourna à sa place satisfait de son investigation.
Vers le soir, Curunir sentit son corps se raidir, et il se rassit à terre involontairement. Son esprit, son intellect, tous ses moyens de penser ne lui appartenait plus. Mandos était de retour, il se reinstalla face à son assemblée et posa ses mains sur son ventre comme sil avait trop manger.
Soudain, le dieu des morts fixa Feanor avec des yeux ébahis, ce dernier se leva et ha lentement vers Mandos. Feanor sapprocha du dieu et lui glissa ces mots à loreille :
« Ô dieu des morts, mon serment est accomplir jai retrouvé les pierres, il faut maintenant me laisser sortir pour que je puisse aller chercher les Silmarils. Une fois que je les posséderait en fin de nouveau, je te les rammenerait et tu pourras libérer mes fils.
- Comment as-tu retrouvé les pierres,elfe ?
- Lhomme à la barbe blanche men as montré une, répondit Feanor en pointant Saroumane du doigt. »
Sur ces paroles, Mandos se leva et appela Curunir. Saroumane se leva, ha vers Mandos et Feanor. Lorsquil fut au côté de Feanor, face à Mandos, il siffla ces quelques mots :
« Que puis-je pour vous servir, dieu des morts ?
- Montre moi cette pierre que tu prétends savoir quelle est un Silmaril.
- Bien sur, monseigneur. »
Sur ces paroles, Saroumane passa une main derrière son dos et montra le Silmaril à Mandos.
En esperant que sa vous plaise toujours
Tar-Aldarion
Le deuxième personnage était également un dieu, cétait Aulë, dieu forgeon, qui créa les nains. Aulë était de la même taille que son compagnon, mais il était beaucoup moins richement habillé. Ses jambes étaient recouvertes de cuir qui le protégeait des éclats du métal quil battait toute la journée. Il avait des grosses mains de travailleur, mais cependant, il paraissait moins vieux que Ulmo.
Ces deux compères sapprochèrent de Mandos. Des paroles séchangèrent, des rires émanaient de la conversation. Soudain, Mandos se leva et suivi ses deux compagnons dans le fond de la caverne. On entendit une porte souvrir, puis se fermer et une clef tourna dans la serrure. Les morts étaient maintenant seuls dans la grande caverne. Tous les esprits séveillèrent, mais aucun être ne bougea, sauf Curunir, qui au fil du temps avait élaboré une stratégie dévasion. Il bondit sur ses pieds et ha vers Feanor et ses fils.
Lorsquil arriva au niveau de lelfe, il sapprocha de lui, celui-ci ne sembla pas se préoccuper de cette présence. Saroumane se pencha à son oreille et lui siffla :
« Il me semble, elfe que vous êtes Feanor, seigneur des Silmarils et que votre veux le plus cher serait de les retrouver.
- Oui, je suis Feanor, je suis prisonnier de cette caverne, retenu par mon
serment et nattends plus rien de personne, alors laissez moi je vous prie. »
Saroumane, cependant ne séloigna pas, mais passa sa main derrière son dos, puis la mit devant les yeux Feanor et louvrit. Sa main portait lun des joyaux que Feanor recherchait. Cétait une pierre de taille moyenne, dune couleur noire avec une sorte de lumière qui brillait en son centre. Cette lueur brillait dans les yeux de Feanor dont le visage sémerveillait face à ce miracle.
« Est-ce possible, cela est-il bien une des pierres ?
- Oui, et je sait où se trouvent les autres, lui expliqua Curunir. Figures-toi que avant de descendre ici, je les ai rassemblées dans un endroit secret et je te les montrerais et te les rendrais volontiers si nous pouvions sortir dici.
- Attendons le retour de Mandos et je lui expliquerait que mon serment est accompli sil me libère, je temmènerais alors avec moi et nous irons chercher les pierres.
- Oui, cest une bonne idée, attendons son retour. »
Et sur ce, Saroumane sen retourna à sa place satisfait de son investigation.
Vers le soir, Curunir sentit son corps se raidir, et il se rassit à terre involontairement. Son esprit, son intellect, tous ses moyens de penser ne lui appartenait plus. Mandos était de retour, il se reinstalla face à son assemblée et posa ses mains sur son ventre comme sil avait trop manger.
Soudain, le dieu des morts fixa Feanor avec des yeux ébahis, ce dernier se leva et ha lentement vers Mandos. Feanor sapprocha du dieu et lui glissa ces mots à loreille :
« Ô dieu des morts, mon serment est accomplir jai retrouvé les pierres, il faut maintenant me laisser sortir pour que je puisse aller chercher les Silmarils. Une fois que je les posséderait en fin de nouveau, je te les rammenerait et tu pourras libérer mes fils.
- Comment as-tu retrouvé les pierres,elfe ?
- Lhomme à la barbe blanche men as montré une, répondit Feanor en pointant Saroumane du doigt. »
Sur ces paroles, Mandos se leva et appela Curunir. Saroumane se leva, ha vers Mandos et Feanor. Lorsquil fut au côté de Feanor, face à Mandos, il siffla ces quelques mots :
« Que puis-je pour vous servir, dieu des morts ?
- Montre moi cette pierre que tu prétends savoir quelle est un Silmaril.
- Bien sur, monseigneur. »
Sur ces paroles, Saroumane passa une main derrière son dos et montra le Silmaril à Mandos.
En esperant que sa vous plaise toujours
Tar-Aldarion