Luthien :
suite du chapitre 18....
Les écureuils volent sur les grands chevaliers,
Armurés d'une écorce au parfum de rosée,
Sous les grandes feuilles d'orme
Et de charme appaisées,
Dont l'ombrage me marmonne,
Les doux chants de l'été.
Arbre :
Que la belle Luthien farandole en ces lieux
Sa lumière est un rêve qui nous rend amoureux
Ses mains nous sont caresses, comme ses longs cheveux,
Un charme d'allégresse, le frisson d'être heureux.
Luthien :
Oh ! Chêne laisse-moi
M'échapper dans tes branches,
Et aller sur ton toit
Humer la brise tendre,
Remuant ton feuillage
Comme joue un enfant,
Te prenant en otage
Sous un souffle riant !
Arbre :
Oh ! Ma belle Luthien
Ce que tu dit me réjouis
J'ose à peine m'abaisser
Tant tu es si jolie !
Monte vite ! Monte vite !
Escalade mon tronc,
Et grimpe en moi plus vite
Pour rejoindre les pinsons !
Luthien :
Tiens ! Oiseau, mon ami
Chante moi ton histoire
Je chanterai ma vie
Doriath, tous les soirs.
Je chante sans soucis
Sous les branches du bois
Neldoreth, mon abri
Mon printemps, mon chez-moi...
Neldoreth ! bois précieux, où rayonnent les cieux,
La musique des elfes et des arbres amoureux
parfumés de senteurs que distillent les dieux
Qu'aucune forêt donne, sauf Lorien et ces lieux
Magnifique palais ! Des Mallyrne sur terre,
Des daims et des perdrix dans leur ballet des airs
Oh toi, Palais Béni, Gardien des âmes chères,
En mon coeur je te prie de garder ton mystère
.... ensuite arrive Daeron qui répond au chant de Luthien.
suite du chapitre 18....
Les écureuils volent sur les grands chevaliers,
Armurés d'une écorce au parfum de rosée,
Sous les grandes feuilles d'orme
Et de charme appaisées,
Dont l'ombrage me marmonne,
Les doux chants de l'été.
Arbre :
Que la belle Luthien farandole en ces lieux
Sa lumière est un rêve qui nous rend amoureux
Ses mains nous sont caresses, comme ses longs cheveux,
Un charme d'allégresse, le frisson d'être heureux.
Luthien :
Oh ! Chêne laisse-moi
M'échapper dans tes branches,
Et aller sur ton toit
Humer la brise tendre,
Remuant ton feuillage
Comme joue un enfant,
Te prenant en otage
Sous un souffle riant !
Arbre :
Oh ! Ma belle Luthien
Ce que tu dit me réjouis
J'ose à peine m'abaisser
Tant tu es si jolie !
Monte vite ! Monte vite !
Escalade mon tronc,
Et grimpe en moi plus vite
Pour rejoindre les pinsons !
Luthien :
Tiens ! Oiseau, mon ami
Chante moi ton histoire
Je chanterai ma vie
Doriath, tous les soirs.
Je chante sans soucis
Sous les branches du bois
Neldoreth, mon abri
Mon printemps, mon chez-moi...
Neldoreth ! bois précieux, où rayonnent les cieux,
La musique des elfes et des arbres amoureux
parfumés de senteurs que distillent les dieux
Qu'aucune forêt donne, sauf Lorien et ces lieux
Magnifique palais ! Des Mallyrne sur terre,
Des daims et des perdrix dans leur ballet des airs
Oh toi, Palais Béni, Gardien des âmes chères,
En mon coeur je te prie de garder ton mystère
.... ensuite arrive Daeron qui répond au chant de Luthien.