14.04.2006, 19:01
Bon, voilà que je débarque avec une bonne semaine de retard, hors connexion faute de temps. Du coup, mon propos va tomber comme un cheveu sur la soupe (mea maxima culpa, je sais). Mais c'est agaçant de voir comme des propos peuvent être déformés en les sortant de leur contexte. Aussi, je tiens à répondre à Isengard sur ce qu'il cite de mes propos. Je rappelle qu'après avoir écrit : "D'abord, ils (les orques) n'ont rien d'humain : ce sont des créatures perverties par Morgoth, quelque chose comme une espèce animale intelligente ou, pis, comme des "androïdes", bref, une création directe des forces du mal.", j'ai ajouté : "(Encore qu'il doive leur rester une conscience de ce qu'ils étaient avant, sinon ils n'auraient pas ces réactions quasi humaine - je n'ai pas d'exemple précis en tête, mais je pense à leur comportement en général : ils paraîtraient complètement bizarres et irréels si ce n'était pas le cas)", ce qui modifie totalement le sens de ce qui précède. En fait, je tenais NON PAS à donner une vision totalement négative des orques, mais à insister sur le fait que je pense que chez Tolkien comme dans la vie, rien n'est tout blanc ni tout noir, sinon tout serait simplissime et... mortellement ennuyeux !
Par ailleurs, j'aimerais assez que Eothen explique le cheminement tortueux qui transforme la phrase pourtant très claire de Gandalf : "Et qui brise quelque chose pour découvrir ce que c'est a quitté la voie de la sagesse." en "c'est blanc ou noir,et pas de place pour des couleurs intermédiaires". Je ne vois franchement pas le rapport !
Par ailleurs, j'aimerais assez que Eothen explique le cheminement tortueux qui transforme la phrase pourtant très claire de Gandalf : "Et qui brise quelque chose pour découvrir ce que c'est a quitté la voie de la sagesse." en "c'est blanc ou noir,et pas de place pour des couleurs intermédiaires". Je ne vois franchement pas le rapport !