26.01.2006, 17:34
(Modification du message : 26.01.2006, 19:58 par Squall-Estel.)
Tu as réussi à m'inspirer... voici ma propre version de l'éveil de Beren!
Beren-
Mes mains dans les cheveux de lherbe fraîche et douce
Ebouriffent les fleurs et caressent la mousse,
Et mon corps, sétirant, dissipe son sommeil
Aux paisibles lueurs dun bienheureux Soleil !
Les sons et les odeurs volent dans la rosée,
Déphémères diamants éclosent, irisés,
Scintillants de couleurs et pétillants de vie :
Ah ! tout ce qui m entoure me charme et me ravit !
-se levant-
O Vent ! Doucement tu murmures
Dans les feuilles et les ramures,
Et tu viens menchanter des plus rares parfums
Qui dans cette forêt tourbillonnent sans fin !
Merci à toi, o mon ami,
Pour cette fraîcheur infinie !
-respirant longuement-
Merci aussi à toi, Sommeil réparateur
De mavoir redonné cette étrange vigueur,
Merci à toi, rêve béni
Toi qui menveloppas lesprit !
-Il entend soudain les oiseaux-
Vous êtes là, mes doux amis !
Et vos légères mélodies
Sécoulent dans la clairière
Comme la douce lumière !
-Sétirant avec volupté
Gloire à toi, Aurore nouvelle,
Si éclatante dans le ciel !
Gloire à vous, petits rossignols !
Gloire à vous, vertes herbes folles !
Gloire à vous, arbres pleins de sève !
Gloire à toi, Nature qui te lèves !
Et gloire à toi, Ilúvatar, Père éternel,
Pour mavoir réveillé reposé et heureux,
Dans cet endroit béni brillant de mille feux,
Sous les feuilles et les ombelles !
(en principe, il n'y a que des alexandrins et des octassyllabes )
Beren-
Mes mains dans les cheveux de lherbe fraîche et douce
Ebouriffent les fleurs et caressent la mousse,
Et mon corps, sétirant, dissipe son sommeil
Aux paisibles lueurs dun bienheureux Soleil !
Les sons et les odeurs volent dans la rosée,
Déphémères diamants éclosent, irisés,
Scintillants de couleurs et pétillants de vie :
Ah ! tout ce qui m entoure me charme et me ravit !
-se levant-
O Vent ! Doucement tu murmures
Dans les feuilles et les ramures,
Et tu viens menchanter des plus rares parfums
Qui dans cette forêt tourbillonnent sans fin !
Merci à toi, o mon ami,
Pour cette fraîcheur infinie !
-respirant longuement-
Merci aussi à toi, Sommeil réparateur
De mavoir redonné cette étrange vigueur,
Merci à toi, rêve béni
Toi qui menveloppas lesprit !
-Il entend soudain les oiseaux-
Vous êtes là, mes doux amis !
Et vos légères mélodies
Sécoulent dans la clairière
Comme la douce lumière !
-Sétirant avec volupté
Gloire à toi, Aurore nouvelle,
Si éclatante dans le ciel !
Gloire à vous, petits rossignols !
Gloire à vous, vertes herbes folles !
Gloire à vous, arbres pleins de sève !
Gloire à toi, Nature qui te lèves !
Et gloire à toi, Ilúvatar, Père éternel,
Pour mavoir réveillé reposé et heureux,
Dans cet endroit béni brillant de mille feux,
Sous les feuilles et les ombelles !
(en principe, il n'y a que des alexandrins et des octassyllabes )