27.09.2005, 00:07
Une rectification des derniers vers, oui, qui entraîne forcément une modification des précédents (cruelles néscessités de la rime...)
je me rapproche du texte sur la fin mais je perds en précision au niveau des allées... mais pour être exhaustif, faudrait rajouter d'autres vers, et Turb va encore râler (mais non, je t'en veux pas, tu es là pour ça )
Voici donc la v2 :
Kortirion ! Au sommet de ton île colline
Aux tortueuses rues que les ombres effleurent,
Où encore aujourdhui les paons paradent fiers ;
Ta majesté, tes murs de saphirs, démeraudes.
Il y a bien longtemps dans ces terres qui dorment
Où la pluie est dargent, où chargés dans se dressent
De hauts arbres plongeant leurs profondes racines
Dans un sol frissonnant de souvenirs dhier.
Leur ombre avait plané durant les heures chaudes,
Leur ramure avait bruit dans le vent qui se presse,
Il y a bien longtemps, Reine au pays des Ormes,
Auguste cité des Royaumes Intérieurs.
Divitiac, pour vous servir
je me rapproche du texte sur la fin mais je perds en précision au niveau des allées... mais pour être exhaustif, faudrait rajouter d'autres vers, et Turb va encore râler (mais non, je t'en veux pas, tu es là pour ça )
Voici donc la v2 :
Kortirion ! Au sommet de ton île colline
Aux tortueuses rues que les ombres effleurent,
Où encore aujourdhui les paons paradent fiers ;
Ta majesté, tes murs de saphirs, démeraudes.
Il y a bien longtemps dans ces terres qui dorment
Où la pluie est dargent, où chargés dans se dressent
De hauts arbres plongeant leurs profondes racines
Dans un sol frissonnant de souvenirs dhier.
Leur ombre avait plané durant les heures chaudes,
Leur ramure avait bruit dans le vent qui se presse,
Il y a bien longtemps, Reine au pays des Ormes,
Auguste cité des Royaumes Intérieurs.
Divitiac, pour vous servir