Vision de Beren
Foulant les sentiers secrets
Que nul naurait trouvé
Où les rossignols avaient espéré
Te voir au Crépuscule danser.
Comme déclinait le jour assombrit
Daucune nuit ne pourrait rivaliser
Sinon ta chevelure, tel un lit
Que lobscurité naurait su renier.
Dans leurs arbres grands élevés, ils acclament :
Lúthien !! Lúthien !!
Et leur chant accompagne tes pas.
Où mégarant dans un rêve éveillé
Tant fugace métait la réalité
Et frôlait mon regard dévoré
Pour contempler ô douce beauté
Alors se taisait toute vie
Les murmures annonçaient la venue
Des hautes frondaisons, lintrus que je suis
Et séchappe la Belle, allant le pied nu.
Dans mon désespoir grand éperdu, je crie
Tinúviel !! Tinúviel !!
Comme je te prie de revenir à moi.
Foulant les sentiers secrets
Que nul naurait trouvé
Où les rossignols avaient espéré
Te voir au Crépuscule danser.
Comme déclinait le jour assombrit
Daucune nuit ne pourrait rivaliser
Sinon ta chevelure, tel un lit
Que lobscurité naurait su renier.
Dans leurs arbres grands élevés, ils acclament :
Lúthien !! Lúthien !!
Et leur chant accompagne tes pas.
Où mégarant dans un rêve éveillé
Tant fugace métait la réalité
Et frôlait mon regard dévoré
Pour contempler ô douce beauté
Alors se taisait toute vie
Les murmures annonçaient la venue
Des hautes frondaisons, lintrus que je suis
Et séchappe la Belle, allant le pied nu.
Dans mon désespoir grand éperdu, je crie
Tinúviel !! Tinúviel !!
Comme je te prie de revenir à moi.