05.03.2005, 18:49
Aglarond a écrit :Un des seuls exemples de transmission de... l'"appartenance à un peuple" ? (je ne sais comment dire...) par la mère est chez le peuple juif : pour être juif, la seule condition est que sa mère le soit.
Il y en a bien d'autres dans le monde, surtout dans les tribus Indiennes d'Amérique du Nord et du Sud.
qui aime aussi bp certaines langues de là-bas...
Edouard Kloczko
Lady-Ewen a écrit :Je vois... c'est vrai que ça se tient! Et désolée pour Edain! Faudra que je fasse attention à mes pluriels moi!
Mais, Luthien n'a pas vraiment fait ce choix dans sa vie... Elle s'est laissée mourir...puis, Eru, par l'intermédiaire de Manwë (si mes souvenirs ne me trompent pas!) lui a offert de choisir... Mais basiquement, elle était morte... C'est ça qui me chiffonne: ses descendants décident un beau jour qu'ils veulent etre humains alors *pof!* le lendemain ils sont mortels... C'est simpliste mais l'idée y est! Enfin, si Tolkien l'a écrit comme ça... Je m'incline bien volontiers!!!
Luthien ne s'est certainement pas laissé mourir, "pouf".
Luthien a quitté une première fois et volontairement son enveloppe charnelle (hroa), étant une demi=déesse, fille de Maia, Melian, pour rejoindre une âme en Mandos et plaider en faveur de son amant Beren.
Beren fut réincarné dans un corps à condition que Luthien change de race et devienne une mortelle.
C'est pour cette raison qu'elle est morte, car elle est devenue une mortelle.
Le choix de la "race" ne fut offert qu'à Elros et Elrond à la fin du 1er âge.
Elros devint humain...
Mais Elrond choisit d'être un Elfe et ses enfants qui restaient sur la Terre du M. devait à leur tour choisir. Mais c'est tout. Aucun des enfants d'Arwen n'aurait pu choisir entre leurs races (Elfique ou Humaine); il en est de même pour les frères Elladan et Elrohir qui restèrent en Terre du Milieu un "moment" sans que nous sachions quel fut leur choix.
Mais leurs enfants n'auraient pas pu faire un autre choix que celui de leurs pères.
Mais on s'éloigne des langues elfiques là, je crois...
elfiquement vôtre,
Edouard Kloczko