05.03.2005, 17:01
Aë elbereth, ami des elfes
Je suit heureux d'apporter mon témoignage sur ma lecture et compréhension de SDA et de ce qu'il a apporté dans ma vie.
L'ayant lut a 16ans ce n'est que bien plus tard que j'ai comprit toute l'influence et la portée de l'ensemble de l'oeuvre. Avant d'y voir une connotation religieuse c'est la dimension symbolique et philosophique qui m'as marquée. Si l'histoire de Frodon aux neuf doigts narre la fin de la guerre de l'anneau c'est avant tout une oeuvre anti-guerre(compréhensible quand on sait que l'auteur a vécut les tranchées de 14-1 ou ce n'est pas la puissance qui l'emportes. Je ne citerais que l'exemple évident du débat de Boromir au conseil d'Elrond...ne pouvons nous pas en tirer comme leçon qu'une arme, la soif de pouvoir ne ménes qu'à des drames(comme cela a été pour Isildur ou Boromir). En décortiquant(et en se souvenant du métier de l'auteur) il est aussi évident que SdA est un apprentissage où Gandalf fait figure de maître autant que de guide(surtout pour les hobbits). La dimension religieuse est indéniable bien que ce soit un des derniers aspects qui m'ait frappé(certainement par le fait de ma non appartenance a un dogme) quand on voit que la traîtrise et le mensonge sont les attributs premier du mal(comme pour un certain Satan) mais que Tolkien sait s'en dégager sans tomber dans le cliché grotesque du pêché et du paradis/enfer. En effet il laisse aux humains le libre arbitre du dieu chrétien et n'évoque leur sort aprés la mort que comme une notion vague. Je rapproche Akallabeth, la chute de Numenor, plus facilement du mythe de l'atlantide que de l'histoire de Sodomme et Gomorrhe comme il a été dit précedement(peut être ces 2 histoires n'en sont qu'une aprés tout).
Bon j'oublie l'essentiel, l'épique et le romanesque, le féerique et tout l'héroïsme des sources d'inspiration(nombreuses) qui dans le SdA ne sont pas l'apanage des seuls chevaliers, de la seule élite de la société, mais aussi des plus humbles.
Je termine(par peur de faire trop long) en ajoutant que les valeurs de SdA(que j'ai essayé de faire mienne) peuvent se compléter par l'amitié qui unit fortement les hobbits et les compagnons d'aventure qu'ils rencontreront.
ps:même si l'un des premiers maître de Tolkien est un prêtre, il lui donnes le goût de la poésie et des comptines anglo-saxonne(qui sont des oeuvres païennes).
Je suit heureux d'apporter mon témoignage sur ma lecture et compréhension de SDA et de ce qu'il a apporté dans ma vie.
L'ayant lut a 16ans ce n'est que bien plus tard que j'ai comprit toute l'influence et la portée de l'ensemble de l'oeuvre. Avant d'y voir une connotation religieuse c'est la dimension symbolique et philosophique qui m'as marquée. Si l'histoire de Frodon aux neuf doigts narre la fin de la guerre de l'anneau c'est avant tout une oeuvre anti-guerre(compréhensible quand on sait que l'auteur a vécut les tranchées de 14-1 ou ce n'est pas la puissance qui l'emportes. Je ne citerais que l'exemple évident du débat de Boromir au conseil d'Elrond...ne pouvons nous pas en tirer comme leçon qu'une arme, la soif de pouvoir ne ménes qu'à des drames(comme cela a été pour Isildur ou Boromir). En décortiquant(et en se souvenant du métier de l'auteur) il est aussi évident que SdA est un apprentissage où Gandalf fait figure de maître autant que de guide(surtout pour les hobbits). La dimension religieuse est indéniable bien que ce soit un des derniers aspects qui m'ait frappé(certainement par le fait de ma non appartenance a un dogme) quand on voit que la traîtrise et le mensonge sont les attributs premier du mal(comme pour un certain Satan) mais que Tolkien sait s'en dégager sans tomber dans le cliché grotesque du pêché et du paradis/enfer. En effet il laisse aux humains le libre arbitre du dieu chrétien et n'évoque leur sort aprés la mort que comme une notion vague. Je rapproche Akallabeth, la chute de Numenor, plus facilement du mythe de l'atlantide que de l'histoire de Sodomme et Gomorrhe comme il a été dit précedement(peut être ces 2 histoires n'en sont qu'une aprés tout).
Bon j'oublie l'essentiel, l'épique et le romanesque, le féerique et tout l'héroïsme des sources d'inspiration(nombreuses) qui dans le SdA ne sont pas l'apanage des seuls chevaliers, de la seule élite de la société, mais aussi des plus humbles.
Je termine(par peur de faire trop long) en ajoutant que les valeurs de SdA(que j'ai essayé de faire mienne) peuvent se compléter par l'amitié qui unit fortement les hobbits et les compagnons d'aventure qu'ils rencontreront.
ps:même si l'un des premiers maître de Tolkien est un prêtre, il lui donnes le goût de la poésie et des comptines anglo-saxonne(qui sont des oeuvres païennes).