Voici le Chapitre 10 ! Nouveau Post Bonne lecture
Chapitre 10: Le Désert de Dungorbeth.
Je me dirige alors sur un triste chemin
Surplombant dans la neige un sombre ravin
La route dun désert daffreuse solitude
La route de la Guerre, de la mort et du sud.
Descendant les collines et les sombres crevasses,
Noires comme les Ténèbres, âpres et crasses
Je marrache sur les pierres taillées pour fendre
Mes mollets, mes cuisses sont pleines de cendres
La fatigue saccroît soudain dune langueur
Un mal pernicieux sen prend à ma valeur
A mon courage, ma puissante volonté
Un démon de peur erre ici assoiffé.
Une sombre terreur a jamais hante ces lieux
Désolé, sans vie, sans âme de bienheureux
La Haine ici harangue sa domination
Pas une herbe ne germe de lexcavation !
Dans la nuit je sens des fantômes me poursuivre
Des horreurs cruelles dont les voix sont de cuivres
La piste est en dentelle, ravinée, pentue
Les chutes ici, font la fin des mal-venus !
Les vils silences noirs mattaquent constamment
Dans la nuit, je ne peux que braver leurs serments
De mort et de peine, qui sinsinuent pourtant
Dans mon cur, qui se vide insidieusement
Mon espoir disparaît, mon courage sétiole
Jatteins un désert, sans la clarté dune fiole
Des araignées ont fait ici leur Royaume
Depuis quUngoliant, se terre loin du dôme !
Je sens labyme me torturer,
mes terreurs me pétrifier !
Je vois mon père ! Je vois sa mort !
Je vois la Haine ! Puis je me tord !
Son feu me brûle ! Je nen peut plus !
Jai beau crier ! Je ne vit plus !
Assassin !
Nul nentends !
Vide
Sinistre
Vide
..
Je massoie sur cette terre de sel
Croyez-vous que jai mal agi ?
Je me noies dans lhideuse mer de gel
Broyez-moi, je vous en supplie .
Ma vie na plus de sens !
Je nai plus aucun prix !
Je ne suis que silence !
Je suis anéantit !
Pauvre est le jour qui me vit naître !
Noire est la nuit qui me conçue !
Je nai plus quà y disparaître
Dans la mort, je ne serais plus !
Toi belle lame, qui pourfendit nombre maux
Toi tendre lame, pénètre dans mon cerveau !
Je ne veux plus vivre ! Jai vécu trop de peine !
Je ne veux plus écrire ! lencre sera mes veines !
Chapitre 10: Le Désert de Dungorbeth.
Je me dirige alors sur un triste chemin
Surplombant dans la neige un sombre ravin
La route dun désert daffreuse solitude
La route de la Guerre, de la mort et du sud.
Descendant les collines et les sombres crevasses,
Noires comme les Ténèbres, âpres et crasses
Je marrache sur les pierres taillées pour fendre
Mes mollets, mes cuisses sont pleines de cendres
La fatigue saccroît soudain dune langueur
Un mal pernicieux sen prend à ma valeur
A mon courage, ma puissante volonté
Un démon de peur erre ici assoiffé.
Une sombre terreur a jamais hante ces lieux
Désolé, sans vie, sans âme de bienheureux
La Haine ici harangue sa domination
Pas une herbe ne germe de lexcavation !
Dans la nuit je sens des fantômes me poursuivre
Des horreurs cruelles dont les voix sont de cuivres
La piste est en dentelle, ravinée, pentue
Les chutes ici, font la fin des mal-venus !
Les vils silences noirs mattaquent constamment
Dans la nuit, je ne peux que braver leurs serments
De mort et de peine, qui sinsinuent pourtant
Dans mon cur, qui se vide insidieusement
Mon espoir disparaît, mon courage sétiole
Jatteins un désert, sans la clarté dune fiole
Des araignées ont fait ici leur Royaume
Depuis quUngoliant, se terre loin du dôme !
Je sens labyme me torturer,
mes terreurs me pétrifier !
Je vois mon père ! Je vois sa mort !
Je vois la Haine ! Puis je me tord !
Son feu me brûle ! Je nen peut plus !
Jai beau crier ! Je ne vit plus !
Assassin !
Nul nentends !
Vide
Sinistre
Vide
..
Je massoie sur cette terre de sel
Croyez-vous que jai mal agi ?
Je me noies dans lhideuse mer de gel
Broyez-moi, je vous en supplie .
Ma vie na plus de sens !
Je nai plus aucun prix !
Je ne suis que silence !
Je suis anéantit !
Pauvre est le jour qui me vit naître !
Noire est la nuit qui me conçue !
Je nai plus quà y disparaître
Dans la mort, je ne serais plus !
Toi belle lame, qui pourfendit nombre maux
Toi tendre lame, pénètre dans mon cerveau !
Je ne veux plus vivre ! Jai vécu trop de peine !
Je ne veux plus écrire ! lencre sera mes veines !