Pour ceux qui se demandaient ce qu'était devenu la Ruine de Dorthonion, voici la première partie du chapitre...
Chapitre 7 : La Ruine de Dorthonion
Les animaux :
Viens mon ami, te cacher par ici,
Viens oh mon ami, fuir lennemi
Qui poursuit dans le noir
Ton merveilleux espoir
Il faut mon ami, laisser tes ennuis
Oter de ta vie tes petits soucis,
Garde bien ton esprit
Eloigné de la Nuit
Il te faut rester libre de lOubli
Egal à toi-même et sec sous la pluie
Dans la nuit du brouillard
Loin de ton cauchemar
Viens vite mon ami prendre sursis
Pour mener ton combat toute ta Vie
Avec la Joie, la Paix
La Grande amitié
De tous tes amis
Ici Réunis.
Sauron:
Sec et soif ! Désert sans le moindre candélabre !
Landes vides, ridées ! Crevasses résidentes !
Cimetière désertifié de ces grands arbres !
Aux rocs craquant sous la faille exubérante !
Nue et sans épine de pin sur son vieux sol
Vide, recouverte sans fin de noire suie !
Tu es si seule que le vent frais te désole !
Tes orages sont partis, Ta brise ta fui !
Qui est tu Dorthonion, toi laffreuse Mégère ?
Qui tua tous ceux qui établirent Toiture
Sur tes flans, sous ta persistante chevelure !
Traîtresse ! Imbue ! Pire ! Tyrannique Mère !
Non ! le Mal ne sest fait que linnocent Témoin
Des Traîtrises odieuses que tu orchestra
Toi la terre dAegnor qui ce Roi brûla
Lorsque les Grands Dragons sortirent par mes soins !
Terre cruelle, dont le seul lac est labreuvoir !
Des bêtes infâmes, courageuses pourtant
Qui portent leur aide à lassassin méritoire !
De ton maître et Seigneur ! Empereur de tout temps !
Livres moi ton mal, cet homme qui te pourfends
De son infecte lame, ses crimes odieux !
Qui amène mes hordes et ces flots de sang
Qui eurent pu rester dans leurs caves piteux !
Les Animaux :
Non ! Non ! Non ! Je ne te livrerais pas !
Non ! Non ! Non ! cet homme caché là ! (Bis)
Sauron :
Quoi, tu ne veux terre dinnommables cadavres !
Me livrer ton esclave, captif de surcroît !
Lotage de tes bêtes, libre, sans aucun droit !
Soit ! Reçoit donc le Salaire des Braves !
Insignifiante et fatidique herbacée
Qui irrigue, alimente et noies les veines
Des indigestes bestioles détériorées
Qui passent en troupeaux, égarés dans tes Plaines !
Souffles et Vents, Tornades Maudites dHiver !
Dans les marais, sinsinuent nombre de frelons !
Furoncles et sangsues ! Malheureuse Misère !
Qui sallie à la Volonté du Roi Sauron !
Que mes loups deviennent dinsaisissables faux
Formes invisibles, devenant impalpables,
Stratèges fugaces, impétueux généraux
Pulvérisant en poussière tous les coupables !
Cette terre et celui quelle veut protéger !
Séteindront comme la flamme de cheminée !
Car sous peu, cest le Grand Froid qui va sinfiltrer
Et le Silence, du Nord vient séterniser !
Que mon maître mécoute et fête victoire !
Plus jamais ce grêlon ne se fera entendre !
Son orgueil définitivement quittera la gloire
Et limpossible Malheur quil voulait nous rendre !
Animaux :
Viens vite par ici ! Hors du danger !
Avec tous tes amis, tous rassemblés
Je vais venir vers toi
Te chanter toute joie !
Viens vite tabriter dans ta fratrie !
Je nen peux plus ! Jai peur ! Je ten supplies !
Ces loups vont tavaler !
Ils vont te dévorer !
Ensemble, nous deviendrons une armée !
Contre ces êtres, ces démons zélés !
Qui cherchent de leurs flairs
Lodeur de tes artères !
Ces monstres sèment la désolation
Dans tous nos foyers du Grand Dorthonion !
Viens vite par ici,
Viens vite je ten pries !
La Mort et la Guerre
Amènent lHiver !
En espérant que Divitiac appréciera la nouvelle voix des animaux
Chapitre 7 : La Ruine de Dorthonion
Les animaux :
Viens mon ami, te cacher par ici,
Viens oh mon ami, fuir lennemi
Qui poursuit dans le noir
Ton merveilleux espoir
Il faut mon ami, laisser tes ennuis
Oter de ta vie tes petits soucis,
Garde bien ton esprit
Eloigné de la Nuit
Il te faut rester libre de lOubli
Egal à toi-même et sec sous la pluie
Dans la nuit du brouillard
Loin de ton cauchemar
Viens vite mon ami prendre sursis
Pour mener ton combat toute ta Vie
Avec la Joie, la Paix
La Grande amitié
De tous tes amis
Ici Réunis.
Sauron:
Sec et soif ! Désert sans le moindre candélabre !
Landes vides, ridées ! Crevasses résidentes !
Cimetière désertifié de ces grands arbres !
Aux rocs craquant sous la faille exubérante !
Nue et sans épine de pin sur son vieux sol
Vide, recouverte sans fin de noire suie !
Tu es si seule que le vent frais te désole !
Tes orages sont partis, Ta brise ta fui !
Qui est tu Dorthonion, toi laffreuse Mégère ?
Qui tua tous ceux qui établirent Toiture
Sur tes flans, sous ta persistante chevelure !
Traîtresse ! Imbue ! Pire ! Tyrannique Mère !
Non ! le Mal ne sest fait que linnocent Témoin
Des Traîtrises odieuses que tu orchestra
Toi la terre dAegnor qui ce Roi brûla
Lorsque les Grands Dragons sortirent par mes soins !
Terre cruelle, dont le seul lac est labreuvoir !
Des bêtes infâmes, courageuses pourtant
Qui portent leur aide à lassassin méritoire !
De ton maître et Seigneur ! Empereur de tout temps !
Livres moi ton mal, cet homme qui te pourfends
De son infecte lame, ses crimes odieux !
Qui amène mes hordes et ces flots de sang
Qui eurent pu rester dans leurs caves piteux !
Les Animaux :
Non ! Non ! Non ! Je ne te livrerais pas !
Non ! Non ! Non ! cet homme caché là ! (Bis)
Sauron :
Quoi, tu ne veux terre dinnommables cadavres !
Me livrer ton esclave, captif de surcroît !
Lotage de tes bêtes, libre, sans aucun droit !
Soit ! Reçoit donc le Salaire des Braves !
Insignifiante et fatidique herbacée
Qui irrigue, alimente et noies les veines
Des indigestes bestioles détériorées
Qui passent en troupeaux, égarés dans tes Plaines !
Souffles et Vents, Tornades Maudites dHiver !
Dans les marais, sinsinuent nombre de frelons !
Furoncles et sangsues ! Malheureuse Misère !
Qui sallie à la Volonté du Roi Sauron !
Que mes loups deviennent dinsaisissables faux
Formes invisibles, devenant impalpables,
Stratèges fugaces, impétueux généraux
Pulvérisant en poussière tous les coupables !
Cette terre et celui quelle veut protéger !
Séteindront comme la flamme de cheminée !
Car sous peu, cest le Grand Froid qui va sinfiltrer
Et le Silence, du Nord vient séterniser !
Que mon maître mécoute et fête victoire !
Plus jamais ce grêlon ne se fera entendre !
Son orgueil définitivement quittera la gloire
Et limpossible Malheur quil voulait nous rendre !
Animaux :
Viens vite par ici ! Hors du danger !
Avec tous tes amis, tous rassemblés
Je vais venir vers toi
Te chanter toute joie !
Viens vite tabriter dans ta fratrie !
Je nen peux plus ! Jai peur ! Je ten supplies !
Ces loups vont tavaler !
Ils vont te dévorer !
Ensemble, nous deviendrons une armée !
Contre ces êtres, ces démons zélés !
Qui cherchent de leurs flairs
Lodeur de tes artères !
Ces monstres sèment la désolation
Dans tous nos foyers du Grand Dorthonion !
Viens vite par ici,
Viens vite je ten pries !
La Mort et la Guerre
Amènent lHiver !
En espérant que Divitiac appréciera la nouvelle voix des animaux