Chapitre 5 : La vengeance des Ténèbres (nouvelle version
)
Quelle infâme vanité, petit vermisseau
Te payer ma tête ! Faire brûler mes rostres ?
Que veux-tu donc, jeune porteur de lanneau
Labyme des Enfers brûler sous ma riposte ?
Tu tes arrogé droit de décimer mes rangs
Dopérer le génocide des orques de ces terres !
Pour cette arrogance, je réclames : Sang !
Et la bague que jadis me vola ton père !
Tes amis, ces petits animaux infidèles
Ne te protègeront pas des lames odieuses,
Sur Anfauglith frappent milles lourdes semelles
Mes légionnaires bouillonnant dhaine vicieuse !
Il ny a pas de Paix insignifiant gamin !
Tu nest pas le Maître ! Tu nes quun fiel vaurien !
Tu auras tôt fait de rejoindre ton destin !
Et latroce souffrance où pourrissent tes anciens !
Du Ladros surgissent mes myriades de Trolls
Ebranlant dans ma Guerre, les rocs et les combes
Pour toi, la Vie est sans issue, sans parole !
Je te Condamne au Néant ! Où tu succombe !
Tu auras beau te cacher, courir dans tes Monts,
Et croire, sous terre, te trouver en repos,
Comme feu ton père, nous te débusquerons
Et des Ténèbres, tu souffriras tous les maux
Ta tête est mise à prix pour celle de Fingon,
Des tranchées de ma guerre, lavidité gronde !
Nul ninsulte ainsi la gloire du plus grand Nom,
Sans mourir lheure même, de son immense fronde !
Tu ne tiendras pas, toi ! Imbécile Pantin !
Au jeu de la Guerre dans lequel tu tenfonces !
Plus tôt que le jour, tu finiras dans ma Main
Et je te pulvériserait comme une ronce !
A ta Guerre débile ! Minable jouet !
Pièce de bois ! Méprisable comme une fleur !
Perdu dans un Pays que jaurais tôt fait de brûler !
Et de soumettre sans tarder à mon horreur !
Mes capitaines sont des Loups Garous infectes
Des horreurs cruelles que jai imaginé !
Des monstres puissants, torturés dimmondes spectres
Que la haine et le feu ne sauraient déranger !
Tu néchapperas pas à leur terrible chasse !
Ni aux yeux des vampires qui couvrent le ciel !
Il ny a pas dissue à cette immense nasse !
Où tu gémiras de ta vomissure essentielle !
La Mort est le gouffre qui tensevelira
Sans même une pause, et sans même un dépit
Dans les profondeurs de nuit tu disparaîtra
Et ton nom rejoindra les Prisons de lOubli !
Le Fer et le Feu savancent sans fin vers toi !
Ma Haine terrible encercle ta terre !
Ton monde sécroulera devant mon effroi !
Ta Mort séveille là au levant de ma Guerre !

Quelle infâme vanité, petit vermisseau
Te payer ma tête ! Faire brûler mes rostres ?
Que veux-tu donc, jeune porteur de lanneau
Labyme des Enfers brûler sous ma riposte ?
Tu tes arrogé droit de décimer mes rangs
Dopérer le génocide des orques de ces terres !
Pour cette arrogance, je réclames : Sang !
Et la bague que jadis me vola ton père !
Tes amis, ces petits animaux infidèles
Ne te protègeront pas des lames odieuses,
Sur Anfauglith frappent milles lourdes semelles
Mes légionnaires bouillonnant dhaine vicieuse !
Il ny a pas de Paix insignifiant gamin !
Tu nest pas le Maître ! Tu nes quun fiel vaurien !
Tu auras tôt fait de rejoindre ton destin !
Et latroce souffrance où pourrissent tes anciens !
Du Ladros surgissent mes myriades de Trolls
Ebranlant dans ma Guerre, les rocs et les combes
Pour toi, la Vie est sans issue, sans parole !
Je te Condamne au Néant ! Où tu succombe !
Tu auras beau te cacher, courir dans tes Monts,
Et croire, sous terre, te trouver en repos,
Comme feu ton père, nous te débusquerons
Et des Ténèbres, tu souffriras tous les maux
Ta tête est mise à prix pour celle de Fingon,
Des tranchées de ma guerre, lavidité gronde !
Nul ninsulte ainsi la gloire du plus grand Nom,
Sans mourir lheure même, de son immense fronde !
Tu ne tiendras pas, toi ! Imbécile Pantin !
Au jeu de la Guerre dans lequel tu tenfonces !
Plus tôt que le jour, tu finiras dans ma Main
Et je te pulvériserait comme une ronce !
A ta Guerre débile ! Minable jouet !
Pièce de bois ! Méprisable comme une fleur !
Perdu dans un Pays que jaurais tôt fait de brûler !
Et de soumettre sans tarder à mon horreur !
Mes capitaines sont des Loups Garous infectes
Des horreurs cruelles que jai imaginé !
Des monstres puissants, torturés dimmondes spectres
Que la haine et le feu ne sauraient déranger !
Tu néchapperas pas à leur terrible chasse !
Ni aux yeux des vampires qui couvrent le ciel !
Il ny a pas dissue à cette immense nasse !
Où tu gémiras de ta vomissure essentielle !
La Mort est le gouffre qui tensevelira
Sans même une pause, et sans même un dépit
Dans les profondeurs de nuit tu disparaîtra
Et ton nom rejoindra les Prisons de lOubli !
Le Fer et le Feu savancent sans fin vers toi !
Ma Haine terrible encercle ta terre !
Ton monde sécroulera devant mon effroi !
Ta Mort séveille là au levant de ma Guerre !