15.02.2025, 13:44
(Modification du message : 18.02.2025, 17:43 par Chiara Cadrich.)
Ce petit conte ne se veut pas une parabole des antagonismes religieux de notre monde. Comme il se passe dans les déserts du sud, il peut faire penser à la culture islamique, mais j'ai choisi la Déesse aux trois visages, synthèse œcuménique des triades grecques et moyen-orientales, donc largement pré-chrétiennes et pré-islamiques. Chacun lira comme elle ou il l'entend.
Bien sûr, ce conte souligne que l'instinct d'asservissement - du peuple voisin, des femmes au sein de son propre peuple, etc. - se drape souvent de la dignité sacerdotale et de l'autorité divine. C'est le cas du Mordor qui bâtit un clergé dans ce seul but.
Cette histoire laisse volontairement la porte ouverte à divers futurs pour le "Far Harad" : on ignore si, quelques années plus tard, le Bellakar de Kibir et le Bôzisha-Dar de Luuma auront su résister à Sauron ou lui fourniront des contingents pour la guerre de l'anneau. Simplement, j'imagine qu'Aragorn et Gandalf ont contribué à raviver là une résistance en difficulté. Sans résoudre si cette résistance aura su perdurer.
Bien sûr, ce conte souligne que l'instinct d'asservissement - du peuple voisin, des femmes au sein de son propre peuple, etc. - se drape souvent de la dignité sacerdotale et de l'autorité divine. C'est le cas du Mordor qui bâtit un clergé dans ce seul but.
Cette histoire laisse volontairement la porte ouverte à divers futurs pour le "Far Harad" : on ignore si, quelques années plus tard, le Bellakar de Kibir et le Bôzisha-Dar de Luuma auront su résister à Sauron ou lui fourniront des contingents pour la guerre de l'anneau. Simplement, j'imagine qu'Aragorn et Gandalf ont contribué à raviver là une résistance en difficulté. Sans résoudre si cette résistance aura su perdurer.