16.01.2025, 00:34
(Modification du message : 16.01.2025, 00:34 par Chiara Cadrich.)
Les enclos avaient été brisés, les chevaux et dromadaires enlevés, les chèvres poussées devant les brigands. Quelques nomades, quelques habitants de l’oasis avançaient enchaînés, promis à une vie d’esclave.
Les brigands étaient repartis aussi vite qu'ils étaient venus, laissant derrière eux un paysage de désolation, mais un sanctuaire invaincu où perdurerait l’espoir et avait germé une haine implacable pour le Grand Œil.
Les plantes de ses pieds n’étaient plus qu’une croûte mêlant son sang et le sable. Taïnyota, les mains entravées, était tiré par le Cadir des Variags lui-même.
– Tu nous as coûté cher, Etranger ! Par le Grand Œil, deux douzaines de guerriers abattus ! Mais qu’importe ! Tu vas me rapporter bien plus ! Et je savourerai ton agonie pour la plus grande gloire de l’Œil qui ne dort jamais !
Les brigands étaient repartis aussi vite qu'ils étaient venus, laissant derrière eux un paysage de désolation, mais un sanctuaire invaincu où perdurerait l’espoir et avait germé une haine implacable pour le Grand Œil.
Les plantes de ses pieds n’étaient plus qu’une croûte mêlant son sang et le sable. Taïnyota, les mains entravées, était tiré par le Cadir des Variags lui-même.
– Tu nous as coûté cher, Etranger ! Par le Grand Œil, deux douzaines de guerriers abattus ! Mais qu’importe ! Tu vas me rapporter bien plus ! Et je savourerai ton agonie pour la plus grande gloire de l’Œil qui ne dort jamais !
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A suivre...