10.06.2004, 20:45
J'avais oublié un bout...
Lugubre, plus que terrible, funeste,
Sur les terres des grands hommes de l'Ouest,
D'Harad surgit l'effroyable fléau
Poussant, maudits, les hommes aux caveaux
Sauvage, rongeuse d'os et puis preste
S'imprégna l'épidémie de la peste
Dans les cités et hameaux du Gondor
Ravageant tout jusqu'aux prés d'Eriador
Lugubres sont les cadavres pourris
Décimés par l'odieuse maladie
Sucombant, empestant de tous ces maux
Vomissant jusqu'à leurs propres boyaux
Ignobles étaient les noires cités
Qui d'un prompt deuil s'étaient alors parées
Ne comptant plus tous les contaminés
Qu'au poids de leurs cendres suite aux bûchers.
L'Affreuse peste gagna notre Roi
Qui périt des coups de ce noir exploit
Et j'ai vu disparaître des amis
Dans l'horreur des marques de Pétéchie
La maudite gagna le val du Nord
Où elle n'épargna que peu de son sort
Evacuant les familles de ces terres
Poussant soudain comme son cri de guerre
Elle dévasta tout le bel Anduin
Et à l'ouest, les terres de l'Arthedain
Brisant d'un coup le pauvre Cardolan
Eteignant presque tous ses survivants
Mais alors, elle n'eut plus assez de force
Pour toucher le roi de Fornost. L'Atroce!
Car sous ses sombres nuages funestes
Survivra pour nous la pousse modeste!
Lugubre, plus que terrible, funeste,
Sur les terres des grands hommes de l'Ouest,
D'Harad surgit l'effroyable fléau
Poussant, maudits, les hommes aux caveaux
Sauvage, rongeuse d'os et puis preste
S'imprégna l'épidémie de la peste
Dans les cités et hameaux du Gondor
Ravageant tout jusqu'aux prés d'Eriador
Lugubres sont les cadavres pourris
Décimés par l'odieuse maladie
Sucombant, empestant de tous ces maux
Vomissant jusqu'à leurs propres boyaux
Ignobles étaient les noires cités
Qui d'un prompt deuil s'étaient alors parées
Ne comptant plus tous les contaminés
Qu'au poids de leurs cendres suite aux bûchers.
L'Affreuse peste gagna notre Roi
Qui périt des coups de ce noir exploit
Et j'ai vu disparaître des amis
Dans l'horreur des marques de Pétéchie
La maudite gagna le val du Nord
Où elle n'épargna que peu de son sort
Evacuant les familles de ces terres
Poussant soudain comme son cri de guerre
Elle dévasta tout le bel Anduin
Et à l'ouest, les terres de l'Arthedain
Brisant d'un coup le pauvre Cardolan
Eteignant presque tous ses survivants
Mais alors, elle n'eut plus assez de force
Pour toucher le roi de Fornost. L'Atroce!
Car sous ses sombres nuages funestes
Survivra pour nous la pousse modeste!