Merci pour tes réponses.
Je suis tombé dans Tolkien très jeune et avant la sortie du premier film j'avais la chance de pouvoir aller sur Internet quand c'était possible ! Il y avait effectivement déjà pas mal de possibilité de voir des illustrations sur Internet à l'époque via les galeries des sites sur Tolkien : surtout des scans/photographies des principaux artistes les plus célèbres (John Howe, Alan Lee, Ted Nasmith). Il y avait bien sûr les calendriers et d'autres artistes étaient connus, sans parler bien entendu de l'évidence : les éditions illustrées.
Il m'arrive d'être nostalgique de l'Internet de cette lointaine époque, parfois. J'ai notamment de plus en plus de mal avec la personnalisation à l'outrance du web et les algorithmes qui transforment tout. Passons.
J'essayais à l'instant précisément d'expliquer cela à un anglophone : même avant les films de Jackson, malgré une certaine prédominance de certains illustrateurs, il y avait une sorte de variété et de diversité. La machine d'un blockbuster et de son accompagnement de produits dérivés (de dérivés...) change la donne. Non seulement les images des films deviennent plus prégnantes dans l'illustration même des couvertures des ouvrages, mais la masse de créations d'amateurs - des livres/films ou des films seuls - vient submerger les créations de ceux qui repartent de la source littéraire et plus directement de leur propre imagination.
Je suis tombé dans Tolkien très jeune et avant la sortie du premier film j'avais la chance de pouvoir aller sur Internet quand c'était possible ! Il y avait effectivement déjà pas mal de possibilité de voir des illustrations sur Internet à l'époque via les galeries des sites sur Tolkien : surtout des scans/photographies des principaux artistes les plus célèbres (John Howe, Alan Lee, Ted Nasmith). Il y avait bien sûr les calendriers et d'autres artistes étaient connus, sans parler bien entendu de l'évidence : les éditions illustrées.
Il m'arrive d'être nostalgique de l'Internet de cette lointaine époque, parfois. J'ai notamment de plus en plus de mal avec la personnalisation à l'outrance du web et les algorithmes qui transforment tout. Passons.
J'essayais à l'instant précisément d'expliquer cela à un anglophone : même avant les films de Jackson, malgré une certaine prédominance de certains illustrateurs, il y avait une sorte de variété et de diversité. La machine d'un blockbuster et de son accompagnement de produits dérivés (de dérivés...) change la donne. Non seulement les images des films deviennent plus prégnantes dans l'illustration même des couvertures des ouvrages, mais la masse de créations d'amateurs - des livres/films ou des films seuls - vient submerger les créations de ceux qui repartent de la source littéraire et plus directement de leur propre imagination.