16.11.2019, 09:30
Pour « démon », plein de possibilités, mais rauco est un bon choix. Plusieurs possibilités aussi pour le pronom indéfini (je suis d'accord avec Dwayn sur ce point), mais mo convient bien. Enfin, véra est aussi une bonne solution, je trouve.
Pour les deux derniers points : afin d'exprimer « créer », on pourrait soit utiliser le verbe onta- « engendrer », au moins une fois doté de la signification « créer », soit le verbe car- « faire, fabriquer ». Le premier reviendrait à désigner une action naturelle : nous les générons automatiquement, inconsciemment, tandis que le second serait une activité plus volontaire : bien que ce ne soit pas nécessaire, nous ne manquons pas de nous compliquer la vie en les créant. (Personnellement, je pencherais pour la première option, mais cela se discute.)
Enfin, il existe une terminaison possessive indéfinie, car Tolkien fait bien les choses : c'est -ya (cf. VT 49, p. 16). Reste à tourner la phrase de telle sorte qu'on dise plutôt : « one/man creates his own demons », afin d'appliquer le suffixe à la chose « possédée » (même si en l'espèce, c'est plutôt l'inverse ).
Pour les deux derniers points : afin d'exprimer « créer », on pourrait soit utiliser le verbe onta- « engendrer », au moins une fois doté de la signification « créer », soit le verbe car- « faire, fabriquer ». Le premier reviendrait à désigner une action naturelle : nous les générons automatiquement, inconsciemment, tandis que le second serait une activité plus volontaire : bien que ce ne soit pas nécessaire, nous ne manquons pas de nous compliquer la vie en les créant. (Personnellement, je pencherais pour la première option, mais cela se discute.)
Enfin, il existe une terminaison possessive indéfinie, car Tolkien fait bien les choses : c'est -ya (cf. VT 49, p. 16). Reste à tourner la phrase de telle sorte qu'on dise plutôt : « one/man creates his own demons », afin d'appliquer le suffixe à la chose « possédée » (même si en l'espèce, c'est plutôt l'inverse ).
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland