On atteste aussi une occurrence chez Eumène d'Autun dans son panégyrique de Constantin (9.3), un peu avant Sidoine.
Si le manuscrit comporte uargo, il sera alors transcrit par convention en V dans les éditions qui ne font pas la différence (comme celle d'Harvard-Cambridge pour le texte de Sidonius sur Perseus).
En effet les manuscrits passent à la moulinette des moines copistes, mais n'exagérons pas, autant que je sache il s'agit globalement d'une copie conforme et les seules interprétations se font lorsque le texte pose question (terme difficilement lisible). Dans ce cas il faut trancher, et au bout de plusieurs générations de copie les textes peuvent être corrompus sur certains passages (c'est plus tard aux linguistes de comparer les différents manuscrits pour reconstruire l'ancêtre le plus proche du texte original). En revanche il n'y a pas de correction stylistique tout du long, ni de "reclassicisation", le style est conservé et le latin médiéval reste différent du latin classique.
Si le manuscrit comporte uargo, il sera alors transcrit par convention en V dans les éditions qui ne font pas la différence (comme celle d'Harvard-Cambridge pour le texte de Sidonius sur Perseus).
En effet les manuscrits passent à la moulinette des moines copistes, mais n'exagérons pas, autant que je sache il s'agit globalement d'une copie conforme et les seules interprétations se font lorsque le texte pose question (terme difficilement lisible). Dans ce cas il faut trancher, et au bout de plusieurs générations de copie les textes peuvent être corrompus sur certains passages (c'est plus tard aux linguistes de comparer les différents manuscrits pour reconstruire l'ancêtre le plus proche du texte original). En revanche il n'y a pas de correction stylistique tout du long, ni de "reclassicisation", le style est conservé et le latin médiéval reste différent du latin classique.