(02.06.2018, 14:53)Tikidiki a écrit : Intéressante coïncidence. Plutôt que Ouargues, ne devrait-on pas traduire Varges ? Le "g" se prononce parfois "j', et quant au W, il y a des chances qu'il s'agisse plutôt d'un V.
Le "w" est assurément une lettre assez problématique au sein des langues d'Europe de l'Ouest surtout quand il partie de mots passés d'une langue à l'autre. Parfois prononcé comme un "v" français parfois à peine moins voisé parfois proche du "u" latin...
Je n'ai évidemment pas accès au texte original de Sidoine Apollinaire mais le le site de Remacle me semble de bonne qualité et digne de confiance même si il choisit la graphie du "v", comme dans "superventus" que l'on peut souvent lire aujourd'hui superuentus. Il n'y a pas sur le site des indications qui permettent de comprendre si Le texte mentionne Wargs, Vargs ou même Uargs! Le mieux serait de savoir ce que Sidoine a effectivement écrit. Mon avis est qu'il possible qu'il ait été familiarisé avec la graphie "w".
(02.06.2018, 15:06)Hofnarr Felder a écrit : ... mais continuez, ça m'intéresse !
Alors j'ajoute que de manière amusante l'ami à qui Sidoine adresse cette lettre se nomme... Lupus! Ca ne s'invente pas!

Dorées les feuilles tombent, mais le rêve se poursuit
Là où l'espoir demeure, les eaux chantent sous la nuit
Là où l'espoir demeure, les eaux chantent sous la nuit