La relation entre le quenya et le latin est effectivement bien attestée (cf. mon évocation dans ce petit article).
On pense par exemples aux lettres de Tolkien, où il déclare, en 1954, que le quenya a été créé sur une base latine avec deux autres « ingrédients phonesthétiques » : le grec et le finnois.
On pense par exemples aux lettres de Tolkien, où il déclare, en 1954, que le quenya a été créé sur une base latine avec deux autres « ingrédients phonesthétiques » : le grec et le finnois.