30.12.2016, 17:23
Dans les HoME, il faut bien distinguer les textes de Tolkien, qui sont des esquisses de romans, des chroniques, des poèmes, qui peuvent t'intéresser, et les commentaires laborieux (dans tous les sens du terme !) qu'en livre son fils et éditeur, Christopher Tolkien. L'avantage du format choisi par Christopher Tolkien, c'est que les uns et les autres se distinguent très facilement. Du coup, il est facile d'avoir accès aux textes de Tolkien, sans s'embarrasser de l'enrobage plus métalégendaire et à caractère plus universitaire qui les accompagnent.
Ces commentaires sont d'autant mieux fait qu'ils se divisent en deux parties : une partie qui introduit le texte (et qui paraît assez indispensable pour comprendre ce que l'on est en train de lire et comment ça s'articule avec le reste), et ensuite, après le texte en question, des remarques diverses qui détaillent les changements entre différentes versions et les difficultés rencontrées. On peut sauter tous ces passages sans que cela nuise aucunement à la lecture du reste de l'ouvrage.
Pour ma part, j'ai lu la Formation de la Terre du Milieu après n'avoir rien lu de Tolkien pendant presque quinze ans et j'ai été enchanté. C'était simplement passionnant. Comme le dit Druss, ces textes ont, très clairement, un intérêt intrinsèque tout à fait évident, et il est possible d'y trouver son compte, tant qu'on sait à quoi s'attendre (je rejoins entièrement les quelques remarques d'Agmar en ce sens).
Ces commentaires sont d'autant mieux fait qu'ils se divisent en deux parties : une partie qui introduit le texte (et qui paraît assez indispensable pour comprendre ce que l'on est en train de lire et comment ça s'articule avec le reste), et ensuite, après le texte en question, des remarques diverses qui détaillent les changements entre différentes versions et les difficultés rencontrées. On peut sauter tous ces passages sans que cela nuise aucunement à la lecture du reste de l'ouvrage.
Pour ma part, j'ai lu la Formation de la Terre du Milieu après n'avoir rien lu de Tolkien pendant presque quinze ans et j'ai été enchanté. C'était simplement passionnant. Comme le dit Druss, ces textes ont, très clairement, un intérêt intrinsèque tout à fait évident, et il est possible d'y trouver son compte, tant qu'on sait à quoi s'attendre (je rejoins entièrement les quelques remarques d'Agmar en ce sens).