27.08.2014, 20:10
(Modification du message : 27.08.2014, 20:24 par Cuthalion-64.)
(27.08.2014, 17:48)Yirmeyah a écrit : Oui, mais c'est peut-être dû à la traduction en elle-même...à vérifier.
Peut-être oui...
Sinon, en réponse à la critique de Taliesin, je voudrais vous proposer une "version 2" de la quatrième comptine, que j'ai nommé Supplication de Luthien ou Lamentation de Luthien, à vous de me dire lequel préférez-vous, ou semble le plus approprié à la comptine.
Désolé Yirmeyah, tu aimais particulièrement l'un des vers de cette comptine

Dans bienheureuse-clairière, ou sous étoiles-de-nuit,
Herbe criait : « Luthien, piétines-moi ! »
Rivières chantaient : « Luthien, abreuves-toi ! »
Rossignol hurlait : « Luthien, envoles-toi ! »
Mais Luthien toujours suppliait : Ô ciel de Faërie,
Accueilles-moi ! »
Sur collines-de-rosée, ou dans humide-forêt,
Arbre appelait : « Luthien, donnes moi la vue !
Que de mes yeux, je regarde ta face nue ! »
Niphredil s’exclamait : « Luthien, cueilles-moi ! »
Mais Luthien toujours suppliait : « Ô ciel de Faërie,
Accueilles-moi ! »
Sous cieux-étoilés, ou dans Menegroth, ville-creusée,
Nombreuses-étoiles hélaient : « Luthien, brilles devant nous ! »
Précieuses-pierres enchaînaient : « Luthien, façonnes-nous ! »
Mais du haut de blanche-cime, ou au milieu de lac-d’argent,
Luthien toujours suppliait : « Ô ciel de Faërie,
Accueilles-moi ! »
Herbe criait : « Luthien, piétines-moi ! »
Rivières chantaient : « Luthien, abreuves-toi ! »
Rossignol hurlait : « Luthien, envoles-toi ! »
Mais Luthien toujours suppliait : Ô ciel de Faërie,
Accueilles-moi ! »
Sur collines-de-rosée, ou dans humide-forêt,
Arbre appelait : « Luthien, donnes moi la vue !
Que de mes yeux, je regarde ta face nue ! »
Niphredil s’exclamait : « Luthien, cueilles-moi ! »
Mais Luthien toujours suppliait : « Ô ciel de Faërie,
Accueilles-moi ! »
Sous cieux-étoilés, ou dans Menegroth, ville-creusée,
Nombreuses-étoiles hélaient : « Luthien, brilles devant nous ! »
Précieuses-pierres enchaînaient : « Luthien, façonnes-nous ! »
Mais du haut de blanche-cime, ou au milieu de lac-d’argent,
Luthien toujours suppliait : « Ô ciel de Faërie,
Accueilles-moi ! »
J'espère pour Taliesin que cette version 2 de la comptine remplace assez bien la précédente dans le sens où elle est plus sensé représenter une comptine qu'une poésie. Et en y réfléchissant un peu plus, je ne vois pas en quoi la dernière comptine se rapproche beaucoup plus de la poésie que de la comptine Taliesin (mais cela aussi n'engage que moi). A vous de me dire, j'attends vos critiques.
Dans le plaisir de partager,
Cuthalion.
"Nombreux sont ceux qui vivent et qui méritent la mort. Et d'aucuns meurent qui méritent la vie. Pouvez-vous la leur donner ? Alors ne soyez pas trop ardent à donner la mort au nom de la justice."