14.08.2014, 19:11
Le passage en question :
Il me semblait que c'était une lampe Fëanorienne, mais je n'en vois l'allusion en relisant le passage. Mais ce n'est pas impossible, vu que quelques personnages semblent en posséder à cette époque (Gwindor, Gelmir au moins), les gardes de l'entrée de Gondolin, et plus spécialement Elemmakil, le capitaine de la garde peuvent très bien en avoir une. Et les caractéristiques de cette lampe (une forte lumière, telle une étoile) pourraient le suggérer.
Dans le cas présent, je pense surtout que la beauté de Voronwë est surtout due à l'errance dans le noir, et à la présence de ce fort éclat lumineux produit par la lampe, qui donne cette impression à Tuor de voir une magnifique statue. C'est comme ça que je prends ce passage en tout cas : Voronwë est sublimé par l'instant, cette lumière bleutée dans la pénombre. Tuor le redécouvre en quelque sorte, un long voyage ne met rarement en avant la beauté de qui que ce soit, et c'est là qu'il perçoit ce qu'il n'avait pas encore vu chez son compagnon de route.
Citation :"Soudain quelqu'un démasqua une lanterne d'elfe, et braqua son rayon brillant sur Voronwë qui le précédait, et Tuor ne vit plus rien, hors l'étoile éblouissante dans l'ombre" [...] "Voronwë rejeta son capuchon, et son visage brilla dans le rayon, dur et clair, comme gravé dans la pierre; et Tuor fut ébloui de sa beauté"
Il me semblait que c'était une lampe Fëanorienne, mais je n'en vois l'allusion en relisant le passage. Mais ce n'est pas impossible, vu que quelques personnages semblent en posséder à cette époque (Gwindor, Gelmir au moins), les gardes de l'entrée de Gondolin, et plus spécialement Elemmakil, le capitaine de la garde peuvent très bien en avoir une. Et les caractéristiques de cette lampe (une forte lumière, telle une étoile) pourraient le suggérer.
Dans le cas présent, je pense surtout que la beauté de Voronwë est surtout due à l'errance dans le noir, et à la présence de ce fort éclat lumineux produit par la lampe, qui donne cette impression à Tuor de voir une magnifique statue. C'est comme ça que je prends ce passage en tout cas : Voronwë est sublimé par l'instant, cette lumière bleutée dans la pénombre. Tuor le redécouvre en quelque sorte, un long voyage ne met rarement en avant la beauté de qui que ce soit, et c'est là qu'il perçoit ce qu'il n'avait pas encore vu chez son compagnon de route.