05.08.2012, 19:35
Je ne le qualifierais pas exactement d'une manière aussi brutale que Druss. Après tout, la linguistique est son métier. Par exemple, il a raison pour la distinction mode / méthode (c'est d'ailleurs pourquoi je m'efforce d'utiliser un vocabulaire rigoureux, parfois rébarbatif).
Mais effectivement, cela fait quinze ans qu'il a coupé tous les ponts avec le reste des Tolkiendili (pas seulement les lambendili) et qu'il s'est brouillé avec la Terre entière. J'ai le sentiment que cela n'a pas aidé ses recherches (et on peut bien parler de recherches, puisqu'on n'a jamais vu de résultats).
De fait, j'attends toujours la démonstration que ses cours apportent une plus-value quelconque par rapport à ce qu'on trouve sur Tolkiendil. Ce serait plutôt le contraire, vu qu'il a des idées très... idiosyncratiques... sur l'évolution des langues elfiques. Et dans tous les cas, je ne cautionne pas la démarche commerciale qu'il a adopté depuis un certain temps. Démarche qu'il condamne chez d'autres, soit dit en passant...
Mais effectivement, cela fait quinze ans qu'il a coupé tous les ponts avec le reste des Tolkiendili (pas seulement les lambendili) et qu'il s'est brouillé avec la Terre entière. J'ai le sentiment que cela n'a pas aidé ses recherches (et on peut bien parler de recherches, puisqu'on n'a jamais vu de résultats).
De fait, j'attends toujours la démonstration que ses cours apportent une plus-value quelconque par rapport à ce qu'on trouve sur Tolkiendil. Ce serait plutôt le contraire, vu qu'il a des idées très... idiosyncratiques... sur l'évolution des langues elfiques. Et dans tous les cas, je ne cautionne pas la démarche commerciale qu'il a adopté depuis un certain temps. Démarche qu'il condamne chez d'autres, soit dit en passant...
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland